Produit Intérieur Brut (PIB), illustration en IMAGE !

Le produit intérieur brut, ce qui est produit à l'intérieur d'un pays par les entreprises, principalement, est l'un des indicateur les plus utilisé pour classer le développement des pays, ou évaluer le degré du bien être du pays. Il s'agit de la somme des valeurs ajoutées de toutes les entreprises à l'intérieur d'un pays, peu importe leur nationalité. 

Bien sûr, c'est important de savoir combien produit chaque pays, cela reflète le niveau de vie au niveau du pays, car tout ce qui est produit est estimé en terme de revenus : les salariés se payent par des salaires, les propriétaires de l'entreprise par des bénéfices, l'Etat par des taxes et impôt, la banque par des intérêts sur les crédits accordés, ... Toutes ces rémunérations ne sont que la distribution des chiffres d'affaires (nets des consommations intermédiaires) de l'ensemble des entreprises, cela représente en même temps la somme des valeurs ajoutées. La valeur ajoutée est le chiffre d'affaires (volume des ventes) moins les consommations intermédiaires (les produits qui servent à produire d'autres produits).

Enfin je vous laisse découvrir cela en vidéo. N'hésitez pas à ajouter en commentaire ce que vous en pensez, votre avis compte.

La notion du PIB et la manière de le calculer - explication simple pour tout le monde !

Le PIB (produit intérieur brut) représente ce que produit l'ensemble des agents économiques à l'intérieur des frontières d'un pays. 

Une première chose à savoir : cette production ne tient pas compte des consommations intermédiaires (c'est-à-dire tous les biens qui servent à produire d'autres biens), donc on ne calcule dans le PIB que les produits finaux (destinés à la consommation finale). 

Une deuxième chose à savoir : c'est que la valeur du PIB ne concerne que ce qui est vendu sur le marché. C'est logique, car tant qu'un bien n'est pas vendu, on ne peut lui attribuer une valeur. La valeur des biens n'est rien d'autre que ce que les clients sont prêts à payer pour les acquérir. Un bien qui n'est pas vendu, bien qu'il est produit par les entreprises, n'est pas intégré dans le calcul du PIB. 

Sans tarder, je vous laisse regarder pour en comprendre davantage la signification (du PIB).

 

Notions liée à la valeur : valeur ajoutée, valeur d’usage et valeur d’éc...

PIB et croissance économique , une réalité ou une illusion !?

Comment les BANQUES commerciales 🏦 créent de la monnaie 💶💶? 🤷‍♂️

C'est impressionnant le système bancaire, c'est un monde de science fiction par excellence. Si on regarde de près comment la monnaie est créée on trouvera que ça vient au final de rien, une écriture vaux argent, c'est incroyable, c'est de la pure fiction. Si la banque ecrit sur votre compte un milliard d'euros, et bien vous avez un milliard d'euros sur votre compte, vous pouvez en dépenser comme vous voulez. 

Pour comprendre tout cela, étape par étape, je vous laisse voir ma vidéo que j'ai préparée pour partager avec vous ce sujet passionnant. N'hésitez pas à en dire ce que vous en pensez, ça m'intéresse.

 

L’USUFRUIT, c’est quoi ça encore ? 🤷‍♂️ Je vous présente la notion avec un exemple pratique

En droit, une chose interéssante, c'est que la propriété d'un bien donne lieu à plusieurs droits. Si je possède une tablette par exemple, je peux l'utiliser comme je veux, la personnaliser, la rayer, l'oufrir, la jetter (je vais pas le faire !), la casser (je ne suis pas fou !), la mettre en feu (jamais de la vie !), enfin on peut exercer une liste de droit sur quelque chose qui fait partie de ce qu'on possède. 

Ces droits-là sont catégorisé en trois : 

- Droit d'user du bien : c'est tout ce qui est lié à l'utilisation du bien 
- Droit d'en percevoir les fruits : principalement par la location ou le prêt 
- Droit de disposer du bien : là on aura tout ce qui fait disparaitre le bien, par la vente normalement, mais pas que !

Les deux premiers droits ensemble forme ce qu’on appelle usufruit, c’est-à-dire l’usage du bien et la perception des fruits sur le bien (les loyers par exemple pour un appartement)

Je vous laisse découvrir tout cela en vidéo, n'hésitez pas à jouter votre commentaire, c'est interéssant de savoir ce que vous en pensez.

 

Calculer la TVA dans une facture, trop chargé, ce n'est pas évident !




Je vous présente dans ce cours la procédure à suivre pour déterminer la base imposable de la TVA (la taxe sur la valeur ajoutée). La base imposable c'est simplement le montant sur quoi on applique le taux de TVA, ce qui donne le montant de la TVA.

Bien sûr dans une facture simple, comme c'est souvent le cas, on multiplie simplement le prix par le taux de TVA et on obtient le montant de TVA. Mais, le calcul se complique quand on a dans une facture, plusieurs éléments comme : une remise, un escompte, des frais d'assurances, de transport, emballage, plusieurs marchandises à des taux de TVA différents ...


Dans cette vidéo, je vous montre étape par étape comment on procède pour déterminer la base imposable afin de calculer la TVA. En général, on part de notre prix brut puis on retire les trois R (rabais, remise, ristourne) s'il y en a dans la facture. Ce calcul nous donne notre prix net. Puis on dans un calcul séparé du contenu de la facture, on retire l'escompte du prix net et on ajoute les frais accessoires pour obtenir la base imposable. On retire l'escompte avant les frais accessoires, car l'escompte ne s'applique que sur le prix net et non les frais accessoires. Donc, une fois on arrive à notre base imposable, on applique notre taux de TVA s'il y en a qu'un dans la facture, et on obtient notre montant de TVA.

Une fois qu'on a notre montant de TVA, on l'ajoute au niveau de la facture au prix net, on y ajoute les frais accessoires également, ce qui donne le prix à payer de la facture.

Ces étapes s'appliquent aussi dans le cas où une facture présente plusieurs marchandises à des taux différents de TVA. Dans cette situation, on sépare les marchandises en fonction de leur taux. On met par exemple les marchandises au taux de 6% ensemble, celles au taux de 12% ensemble et pareil pour 21%. Puis applique la même procédure pour chaque groupe de marchandises.

Voilà, j'espère que c'est clair pour vous, sinon dites-moi dans les commentaires ce que vous en pensez...

La balance des comptes en comptabilité générale (cours n° 25)



Pour bien comprendre comment on complète ce document, on prend l’exemple du compte « Banque ». Dans les deux premières colonnes, on reporte successivement le total débit et le total crédit du compte. Donc, le compte « Banque » a 60 000 (45 000 + 15 000) comme total au débit, c’est bien le montant que vous trouvez au niveau de la première colonne en face du compte en question. Dans la seconde colonne, toujours en face du compte « Banque », on met le total crédit, qui s’élève à 20 000 (19 000+ 1 000). Puis, dans les deux dernières colonnes, pour chaque compte, on a soit un solde créditeur (si le total crédit est supérieur au total débit), soit un solde débiteur (si le total débit est supérieur au total crédit). Dans le cas du compte « Banque », il s’agit d’un solde débiteur de 40 000 (60 000 – 20 000).

L’une des choses importantes que permet la balance, c’est de vérifier si nos enregistrements comptables sont corrects. Pour cela, il faut avoir les mêmes totaux généraux, à la fois au niveau des deux premières colonnes (total débit et total crédit) et des deux dernières colonnes (total solde débit et total solde crédit).

La deuxième chose importante de la balance, c’est qu’elle permet de déterminer le bénéfice (ou perte). Vous voyez bien qu’au niveau des totaux des classes, on n’a pas les mêmes chiffres dans les deux premières colonnes et non plus dans les deux dernières colonnes. Donc, la balance n’est pas équilibrée. On peut expliquer ce déséquilibre par la différence qu’il y a entre les charges et les produits. C’est bien cette différence qui donne le résultat de l’entreprise (bénéfice ou perte).

Cette différence peut donner lieu à deux possibilités distinctes :

 - Soit un bénéfice. Dans ce cas, on crédite le compte 14 Bénéfice reporté et on débite le compte 693 Bénéfice à reporter.

- Soit une perte. Dans ce cas, on débite le compte 14 Perte reportée et on crédite le compte 793 Perte à reporter.

Dans notre exemple, comme on l’a déjà précisé, il s’agit bien d’un bénéfice de 500€ puisque les produits (1 500€) sont supérieurs aux charges (1 000€).