Avec des explications simples et accessibles à tout le monde, ce blog se force d'être original en ce sens, et donc apporter sûrement de la valeur à votre apprentissage... Ce blog est nouveau, donc encore inconnu, merci d’en parler autour de vous…
Produit Intérieur Brut (PIB), illustration en IMAGE !
La notion du PIB et la manière de le calculer - explication simple pour tout le monde !
Le PIB (produit intérieur brut) représente ce que produit l'ensemble des agents économiques à l'intérieur des frontières d'un pays.
Une première chose à savoir : cette production ne tient pas compte des consommations intermédiaires (c'est-à-dire tous les biens qui servent à produire d'autres biens), donc on ne calcule dans le PIB que les produits finaux (destinés à la consommation finale).
Une deuxième chose à savoir : c'est que la valeur du PIB ne concerne que ce qui est vendu sur le marché. C'est logique, car tant qu'un bien n'est pas vendu, on ne peut lui attribuer une valeur. La valeur des biens n'est rien d'autre que ce que les clients sont prêts à payer pour les acquérir. Un bien qui n'est pas vendu, bien qu'il est produit par les entreprises, n'est pas intégré dans le calcul du PIB.
Sans tarder, je vous laisse regarder pour en comprendre davantage la signification (du PIB).
Comment les BANQUES commerciales 🏦 créent de la monnaie 💶💶? 🤷♂️
L’USUFRUIT, c’est quoi ça encore ? 🤷♂️ Je vous présente la notion avec un exemple pratique
Calculer la TVA dans une facture, trop chargé, ce n'est pas évident !
Je vous présente dans ce cours la procédure à suivre pour déterminer la base imposable de la TVA (la taxe sur la valeur ajoutée). La base imposable c'est simplement le montant sur quoi on applique le taux de TVA, ce qui donne le montant de la TVA.
Bien sûr dans une facture simple, comme c'est souvent le cas, on multiplie simplement le prix par le taux de TVA et on obtient le montant de TVA. Mais, le calcul se complique quand on a dans une facture, plusieurs éléments comme : une remise, un escompte, des frais d'assurances, de transport, emballage, plusieurs marchandises à des taux de TVA différents ...
Dans cette vidéo, je vous montre étape par étape comment on procède pour déterminer la base imposable afin de calculer la TVA. En général, on part de notre prix brut puis on retire les trois R (rabais, remise, ristourne) s'il y en a dans la facture. Ce calcul nous donne notre prix net. Puis on dans un calcul séparé du contenu de la facture, on retire l'escompte du prix net et on ajoute les frais accessoires pour obtenir la base imposable. On retire l'escompte avant les frais accessoires, car l'escompte ne s'applique que sur le prix net et non les frais accessoires. Donc, une fois on arrive à notre base imposable, on applique notre taux de TVA s'il y en a qu'un dans la facture, et on obtient notre montant de TVA.
Une fois qu'on a notre montant de TVA, on l'ajoute au niveau de la facture au prix net, on y ajoute les frais accessoires également, ce qui donne le prix à payer de la facture.
Ces étapes s'appliquent aussi dans le cas où une facture présente plusieurs marchandises à des taux différents de TVA. Dans cette situation, on sépare les marchandises en fonction de leur taux. On met par exemple les marchandises au taux de 6% ensemble, celles au taux de 12% ensemble et pareil pour 21%. Puis applique la même procédure pour chaque groupe de marchandises.
Voilà, j'espère que c'est clair pour vous, sinon dites-moi dans les commentaires ce que vous en pensez...
La balance des comptes en comptabilité générale (cours n° 25)
Pour bien comprendre comment on complète ce document, on prend l’exemple du compte « Banque ». Dans les deux premières colonnes, on reporte successivement le total débit et le total crédit du compte. Donc, le compte « Banque » a 60 000 (45 000 + 15 000) comme total au débit, c’est bien le montant que vous trouvez au niveau de la première colonne en face du compte en question. Dans la seconde colonne, toujours en face du compte « Banque », on met le total crédit, qui s’élève à 20 000 (19 000+ 1 000). Puis, dans les deux dernières colonnes, pour chaque compte, on a soit un solde créditeur (si le total crédit est supérieur au total débit), soit un solde débiteur (si le total débit est supérieur au total crédit). Dans le cas du compte « Banque », il s’agit d’un solde débiteur de 40 000 (60 000 – 20 000).
L’une des choses importantes que permet la balance, c’est de vérifier si nos enregistrements comptables sont corrects. Pour cela, il faut avoir les mêmes totaux généraux, à la fois au niveau des deux premières colonnes (total débit et total crédit) et des deux dernières colonnes (total solde débit et total solde crédit).
La deuxième chose importante de la balance, c’est qu’elle permet de déterminer le bénéfice (ou perte). Vous voyez bien qu’au niveau des totaux des classes, on n’a pas les mêmes chiffres dans les deux premières colonnes et non plus dans les deux dernières colonnes. Donc, la balance n’est pas équilibrée. On peut expliquer ce déséquilibre par la différence qu’il y a entre les charges et les produits. C’est bien cette différence qui donne le résultat de l’entreprise (bénéfice ou perte).
Cette différence peut donner lieu à deux possibilités distinctes :
- Soit un bénéfice. Dans ce cas, on crédite le compte 14 Bénéfice reporté et on débite le compte 693 Bénéfice à reporter.
- Soit une perte. Dans ce cas, on débite le compte 14 Perte reportée et on crédite le compte 793 Perte à reporter.
Dans notre exemple, comme on l’a déjà précisé, il s’agit bien d’un bénéfice de 500€ puisque les produits (1 500€) sont supérieurs aux charges (1 000€).
Fais-tu la nuance entre Rabais, Remise, Ristourne et Escompte ?
Exercice corrigé en comptabilité générale
Exercice complet et corrigé en comptabilité générale.
Dans cette vidéo je vous explique en détail comment effectuer un exercice complet en comptabilité générale.
Ce type d’exercice est typique par rapport aux exercices de comptabilité générale, car dans ce genre de question on parcourt toutes les étapes qu’on effectue pratiquement lors d’un exercice comptable, au sens comptable du terme. C’est à dire, ce que l’entreprise comptabilise depuis le bilan initial et l’ouverture des comptes jusqu’à la clôture des comptes et l'établissement du bilan final.
Ce que vous allez surtout apprendre au travers de cet exercice est surtout comment enregistrer les opérations commerciales en comptabilité avec la technique de la partie double. Vous allez apprendre à maîtriser les mouvements au niveau de chaque opération commerciale. Le but c’est de garder l’équilibre au niveau débit et crédit de l’ensemble des comptes, et ce pour chaque opération enregistrée.
Une fois les opérations sont enregistrées dans le grand-livre, dans le livre des comptes, on passe à l’étape suivante qui est de solder les comptes, ce qui s’effectue en mettant chaque compte en équilibre dans ses deux colonnes : débit et crédit. Si on a plus de débit que de crédit, alors on ajoute une somme au niveau crédit du compte de sorte que "total débit" soit égale au "total crédit", et cette somme ajoutée est bien ce qu’on appelle un solde débiteur. Dans le cas contraire ou total crédit est supérieur, on équilibre les deux colonnes en ajoutant un solde créditeur au niveau de la colonne débit du compte en question.
Après la clôture des comptes, on passe au calcul du résultat. Qui s’obtient simplement par la différence entre les produits et les charges. Dans notre exemple on a un résultat positif, donc il s’agit bien d’un bénéfice. Un bénéfice est une nouvelle ressource pour l’entreprise qui doit s’ajouter au passif du bilan.
La dernière étape est d’établir le bilan final. Mais il faut savoir qu’avant cette étape, l’entreprise doit procéder à ce qu’on appelle l’inventaire. Il s’agit de calculer et d’évaluer les dettes et les avoirs du bilan, et surtout le stock des marchandises. Mais dans l’exercice, j’ai évité de compliquer ces étapes par une opération d'inventaire. Le fait que les marchandises qui étaient en stock restent toujours les mêmes. Dans les opérations comptabilisées, les marchandises achetées sont les mêmes que celles vendues.
Au niveau du bilan final, on met simplement les soldes des comptes à la place des montants précédents. Et s’il y a de nouveaux comptes qui sont utilisés lors de la comptabilisation des différentes opérations commerciales, comme TVA à récupérer ou TVA à payer, et bien on les ajoute dans le bilan final. Ce qui est bien le cas dans cet exercice.
Voilà j’espère que vous avez bien appris des choses lors de. Cet exercice, sinon n’hésitez pas de réagir en commentaire.
L’ART d’investir en bourse de WARREN BUFFETT
Exercice complet de comptabilité générale (cours n 23)
Dans cette vidéo je vous donne un exercice complet en comptabilité générale à faire. Il s’agit de répondre aux questions suivantes :
–établir le bilan initial
–effectuer l’ouverture des comptes
–comptabiliser les opérations dans des comptes en partie double
–Clôturer les cours
–calculer le résultat
–établir le bilan final
La situation de l’entreprise est la suivante :
– Bâtiments 20 000 €
– Capital… ?
– Caisse 500 €
– Clients 5200 €
– Fournisseurs 1300 €
– Mobilier 11 000 €
– Marchandises 10 000 €
Opérations commerciales à enregistrer :
Première opération : achat de marchandises 2300 € hors TVA, le taux de TVA est de 21 % (facture numéro 1)
Deuxième opération : paiement de la facture numéro une par la banque
Troisième opération : vente des marchandises achetées à 3500 € hors TVA plus TVA de 21%
Quatrième opération : nous recevons une facture d’électricité de 150 €, plus 6 % de TVA
Cinquième opération : paiement de la facture d’électricité par la banque
Combien fallait-il investir en bourse pour être millionnaire aujourd’hui...
Dans cette vidéo, je vais vous présenter une liste d’entreprises qui ont bien performé durant les dix dernières années en bourse. La question à laquelle je vais répondre au travers cette vidéo est de savoir combien fallait-il investir en bourse, dans ces entreprises, pour qu’aujourd’hui la valeur de l’investissement devient ou génère un million d’euros.
Il y en a cinq entreprises dont l’action a très bien progressé en dix ans.
La première de ces entreprises est Microsoft. L’action de cette entreprise a très bien évolué ces dernières années. Pour devenir millionnaire aujourd’hui en ayant investi dans les actions de Microsoft il y a dix ans, il fallait investir un peu plus de cent mille euros. C’est-à-dire que le capital investi se double chaque année en moyenne. De cent mille à un million, il y a une multiplication de l’argent investi par dix.
La deuxième société, qui a fait mieux que Microsoft, est Apple. Si on avait investi moins que cent mille euros il y a dix ans, on aurait aujourd’hui une valeur d’un million d’euros en action d’Apple.
La troisième entreprise qui a performé mieux qu’appelé est Amazon. Son cours actuellement il s’approche de trois mille euros l’action alors qu’il y a dix ans c’était au alentour de cent seize euros. Une progression phénoménale. Il aurait suffi d’avoir investi quelques dizaines d’euros pour accumuler des centaines de milliers d’euros actuellement.
La quatrième entreprise est Netflix, qui a très bien progressé ces dernières années. Car cette entreprise a pu concurrencer dans le monde entier le domaine des médias en proposant des offres très concurrentielles et assez diversifiées à des prix défiant toute concurrence. Son cours passe de quelques dizaines de dollars à plus de quatre cents dollars actuellement.
La dernière entreprise que je vous présente a évolué dès le début de cette année 2020 d’une façon rarement vue en bourse. Cette entreprise c’est Tesla. C’est une entreprise qui investit dans tout ce qui énergie renouvelable, des voitures électriques. Enfin bref, dans tout ce qui est respectueux de la nature, c’est pour cela que médiatiquement, cette entreprise est très appréciée. Cela peut expliquer cette évolution phénoménale du cours de son action. Ce qui peut être juste une bulle spéculative, car des analystes prévoit que cette action grimpera jusque 4 ou 5 000 $ dans les quelques prochaines années à venir. Il faut faire attention, quand on achète des actions en bourse, à ne pas acheter des actions dont la valeur est gonflée par une bulle spéculative, car quand cette bulle s’éclatera, le cours tombera en chute libre, il peut même descendre plus bas que la juste valeur de la l’action en question.
Voilà les cinq entreprises qui ont bien performé durant les 10 dernières années. Mais au contraire de ces entreprises il y a aussi des entreprises qui ont mal performé. Je cite comme contre-exemple la multinationale Hertz, une entreprise américaine qui est actuellement dans un processus de faillite. Son cours était, il y a dix ans, dans les quarante dollars et actuellement il est à un dollar cinquante, et il continue de descendre. Normalement, il doit finir à zéro si l’entreprise finalise son processus de mise en faillite.
Amortissement linéaire et amortissement dégressif (cours n°22)
Dans cette vidéo je vous explique la notion de l'amortissement, son implication sur le bilan comptable et le compte de résultat, et les différentes méthodes d'évaluation de l’amortissement.
L’amortissement c'est simplement la dépréciation de la valeur d'un bien, c'est à dire la perte de sa valeur dans le temps. cette perte de valeur peut avoir plusieurs causes : l'usage, le temps,la technique, ...
Puisque on ne sait pas exactement évaluer avec précision la perte de valeur d'année en année, on a recourt à des méthodes d'amortissement dans ce cadre, je vous présente deux méthodes : la méthode de l'amortissement linéaire et la méthode de l’amortissement dégressif.
Dans l’amortissement linaire, on suppose que la perte de valeur du bien est la même chaque année. donc pour estimer cette perte on divise simplement la valeur du bien par la durée d'utilisation. Cette durée est exprimée en nombre d'année d'utilisation. cela nous donne la charge d’amortissement à comptabiliser annuellement. Donc suite à cette charge d’amortissement, la valeur comptable du bien doit s'afficher au bilan suivant au prix d'acquisition du bien moins la somme d'amortissement comptabilisée comme charge. l'impact sur le résultat de l'entreprise est une diminution d'un même montant.
Au niveau de l’amortissement dégressif, on considère que les biens perdent beaucoup de leur valeur les premières années d’utilisation que les dernières années, donc on amortit une grande somme au début, qui peut aller jusqu'à quarante pour-cent de la valeur du bien. On continue chaque année à amortir 40%, appliquée sur la valeur comptable du bien, jusqu'à ce que le montant de l'amortissement se trouve inférieur à celui comptabilisé dans la méthode de l'amortissement linéaire, et à partir de ce moment-là on bascule la méthode vers celle de l'amortissement linéaire.
Investir en bourse et devenir astronomiquement riche
Comment investir en bourse ? Pourquoi investir ? C’est quoi la différence entre investissement et consommation ? Toutes ces questions sont intéressantes, car au niveau de la société on influence toujours les gens à consommer davantage sans jamais les influencer à investir. C’est quoi la différence entre les deux, et bien l’investissement est la création de richesse et la consommation est la destruction de la richesse. Un consommateur détruit la richesse et un investisseur crée de la richesse. C’est un processus qui forme des mouvements cycliques, et qui sont au cœur du fonctionnement de la machine économique.
Au niveau de la bourse, tout le monde peut investir, et c’est une révolution incroyable car ça libère l’investissement pour le rendre accessible à tout le monde, mais peu de gens le savent et peut de gens investissent, par contre tout le monde consomment car l'idéologie du
système est fait pour former des bons consommateurs mais jamais des bons investisseurs.
La bourse est un marché financier où se rencontre directement et sans intermédiaire les investisseurs, c’est à dire ceux qui ont de l’argent, et les d’entrepreneurs qui possèdent des projets d’investissement. C’est un système différent du système bancaire classique. Au niveau de la bourse on peut investir en achetant des titres boursiers. Il y en a de plusieurs types, mais on peut citer principalement les actions et les obligations.
Une action est une fraction du capital de l’entreprise. Le capital de l’entreprise est le cœur du projet de l’entreprise, il représente ça véritable valeur. Donc quand on achète une action, on devient actionnaire, en quelque sorte un copropriétaire de l’entreprise mais proportionnellement à la valeur des actions achetées par rapport à la capitalisation boursière de l’entreprise. La capitalisation boursière c’est simplement la valeur total de toutes les actions que l’entreprise émette sur le marché boursier.
Par contre une obligation c’est simplement un titre de créance, c’est à dire que l’entreprise reconnaît avoir reçu un prêt de votre part, ce qui vous donnera droit à des intérêts régulièrement, jusqu’à l’a fin du contrat de prêt. Au niveau des action on a plutôt droit à des dividendes, les dividendes sont des parties de bénéfices. Quand l’entreprise dégage des bénéfices, elle distribue des dividendes aux actionnaires. Mais pas toutes les entreprise le font systématiquement, ça dépend de la politique de distribution des dividendes de chaque entreprise. Il y a dans ce cadre des entreprises, surtout américaines, qui fixent comme objectif de ne jamais rater la distribution des dividendes, car ça attire les investisseurs qui cherchent ce genre de revenu (les dividendes).
Au niveau de la bourse on peut représenter deux pratiques, à savoir : le trading et l’investissement.
Le trading c’est simplement le fait de spéculer sur l’évolution d’une action à très court terme. On achète une action par exemple puis on attend que le cours monte afin de la vendre et faire une plus-value. Cela constitue une pratique très risquée car la plus part des particuliers qui se lance dans ce genre de pratique perdent leur argent avant la fin de l’année de leur activité en bourse, c'est un fait statistique.
La deuxième pratique et celle de l’investissement à proprement parler. Il s’agit d’acheter une action et la garder pour le long terme, car on s’intéresse véritablement au modèle de l’entreprise et on veux s’engager dans son projet d’investissement. Cette dernière pratique à fait beaucoup de millionnaires, voire même des milliardaires, comme Warren Buffet par exemple. C’est le deuxième homme le plus riche de la planète après Jeff bezos (le patron d'Amazon). Warren Buffet a une stratégie d’investissement bien claire, qui se base sur des critère bien définis dont je vais parler dans la prochaine vidéo.
Fonctionnement du livre-journal en comptabilité (cours n° 21)
Un livre-journal et un document comptable qui permet d'enregistrer les opérations comptables au jour le jour. C'est dans ce document qu'on inscrit d'abord les opérations à comptabiliser, puis on reporte les enregistrements dans les comptes à partie double.
Le livre-journal se compose de plusieurs colonnes : la première colonne est pour noter les numéros des opérations ; la deuxième, elle se partage en deux petites colonnes, dans la première on note les numéros du plan comptable des comptes à débiter et la deuxième est consacrées aux numéros de compte à créditer ; la troisième colonne est importante, car c'est à cet endroit-là qu'on enregistre l'opération comptable à proprement parler ; dans la dernière colonne, qui est partagée aussi en deux petites colonnes, on met les montants des comptes à débiter dans la première et les montants des comptes à créditer dans la deuxième.
Techniques pour enregistrer facilement les opérations comptables en comp...
Le fonctionnement des comptes à partie double en comptabilité et très important. Il s'agit de toute la logique sur laquelle se basent les enregistrements des opérations comptables. Il faut absolument la maîtriser cette logique pour enregistrer correctement et sainement les opérations commerciales dans la comptabilité d'une entreprise.
Dans cette vidéo, je vous explique comment ça fonctionne cette logique d'enregistrement des opérations dans des comptes à partie double (sous forme de T). Pour mieux maîtriser ce sujet, il faut commencer par quelques techniques de bases qui simplifient la compréhension des mouvements à enregistrer.
- Tout d'abord, on met les comptes de passif et de produits à droite ; et les comptes d'actif et de charges à gauche. De cette manière on sait qu’à l'extrémité des comptes ça augmente. C'est-à-dire que les comptes actifs et de charges augmentent au débit et les comptes passifs et de produits augmentent au crédit, donc ce qui est au milieu représente les diminutions. Avec cette disposition des comptes, on simplifie déjà la technique d'enregistrement des mouvements dans des comptes à partie double en comptabilité.
- Puis une chose importante aussi, dont il faut absolument tenir compte, c'est que le total débit et le total crédit doit toujours être d'une même somme, et cela au niveau de chaque opération comptable à enregistrer.
Exercice corrigé en mathématiques financières
Dans cette vidéo, je vous explique comment on peut appliquer des formules de mathématiques financières à des problèmes pratiques. Les formules dont je parle sont les formules les plus utilisées pour tout calcul financier. Dans notre exemple, je réponds à deux questions de cette nature.
Il s’agit simplement de répondre aux questions du genre : combien je dois placer aujourd’hui pour qu’au bout de dix ans je reçoive une somme de 80000€. Ou bien, on peut répondre à des problèmes financiers pratiques du genre : combien je dois placer mensuellement pour que dans trente ans j’aie une pension ou un revenu grâce à mes placements de trois mille euros.
Les quatre formules sont :
- la formule de l’actualisation d’un capital se situant dans le futur ;
- la formule de capitalisation d’un capital qu’on détient au moment présent ;
- la formule de la valeur acquise d’une suite d’annuités ou de mensualités ;
- et la dernière formule est la formule de la valeur future d’une suite d’annuités ou de mensualités.
Savoir appliquer la bonne formule parmi ces quatre et une compétence importante pour être un bon financier. L'une des étapes les plus importantes pour y parvenir est de placer correctement les données dont on dispose sur la ligne du temps, puis appliquer la formule financière adéquate pour répondre aux problème posé. Cette compétence peut s'acquérir avec des exercices sur différents problèmes et situations de tous les jours. En réalité on peut résumer toutes ces formules en une seule, qui est capital, à savoir celle qui permet de faire voyager la valeur de l'argent dans le temps, soit vers le futur soit en revenant en arrière dans le passer. C'est bien de cela que toutes ces formules sont déduites.
Une lecture athlétique du texte, ulra-rapide (apprendre à lire rapidement)
La lecture rapide et la lecture scolaire, c’est quoi la différence ? À l’école on apprend aux élèves à lire en prononçant les mots, ce qui devient avec le temps un vrai handicap à la vitesse de lecture, car on habitude le cerveau à donner sens à ce qu’on prononce plutôt que à ce qu’on voit.
Dans la lecture rapide on supprime cette intermédiation entre le texte et la réception du sens par le cerveau, cette intermédiation s’appelle la subvocalisation, c’est à dire qu’on prononce intérieurement le texte pour pouvoir le comprendre. Ce qui constitue un vrai entrave à la vitesse de lecture, mais aussi à la compréhension du texte. Au niveau de la lecture rapide, on habitue le cerveau à donner sens au texte comme on donne sens à ce qu’on voit , aux images, aux personnes ... on n'a pas besoin de prononcer le prénom d’une personne pour se rendre compte de qui c’est véritablement cette personne, il suffit on le voit et notre cerveau le reconnaît tout de suite. C’est bien ce qui doit être fait au niveau des mots aussi, on doit les reconnaître visuellement sans passer par la subvocalisation. Pour cela il faut faire beaucoup d’exercices.
Il y a aussi ce qu’on appelle l'empan visuel, il s’agit de la quantité de texte qu’on peut voir et comprendre. Dans la méthode scolaire, on apprend aux élèves à lire mot à mot, comme si on ne peut pas comprendre plus qu’un mot à la fois, ce qui est une erreur, car on peut voir toute un paragraphe et le comprendre visuellement, tout comme on comprend un mot tout seul. Mais pour arriver à ce stade de reconnaissance d’un groupe de texte, il faut faire énormément d’exercices, et sur une longue période. Finalement très peut de gens savent lire, avec cette méthode qui est la plus adaptée à notre cerveau, car la méthode scolaire et très handicapante et très fatigante pour notre cerveau.
La vitesse la plus rapide pour une lecture à haute voix ne peut pas dépasser 250 mots/minute. Or, au niveau de la lecture rapide, on peut dépasser 2000 mots par minute. C’est une lecture qui se fait uniquement avec les yeux, sans prononcer les mots, même intérieurement, car c’est justement ça qui ralenti la lecture, et réduit au même temps la compréhension car c’est un intermédiaire inutile entre la perception du texte et l’interprétation du sens par le cerveau.
Exercices corrigés sur les calculs relatifs à la TVA
Comment calculer la TVA dans des situations différentes ?
Dans cette vidéo, je vous donne quelques exercices pour mieux maîtriser les calculs relatifs à la TVA (la Taxe sur la Valeur Ajoutée).
Il faut savoir calculer la TVA dans des situations différentes : par exemple, vous disposez du taux de la TVA, du montant TTC (Toutes Taxes Comprises) et vous cherchez le prix HT (Hors TVA) ainsi que le taux de la TVA.
Pour mieux répondre à ce genre de question, il suffit de comprendre de quoi est composé le prix TTC. Une fois que vous pouvez mettre en relation l’ensemble des éléments relatifs à la TVA à savoir : le prix HTVA, le Prix TTC, le Taux et le montant de la TVA.
Ces quatre éléments sont liés dans une équation simple. Une fois qu’on remplace dans cette équation les différentes données dont on dispose, on se trouve très vite avec une petite équation à une seule inconnue. Ce qui est facilement trouvable avec la magie des mathématiques.
Dans la prochaine vidéo, je vous donne tous ces éléments pour les appliquer dans n’importe quelle situation.
Les quatres formules les plus utilisées en finance (cours de mathématiqu...
Dans cette vidéo, je vous présente les quatre formules les plus utilisées en mathématiques financières. Ces formules dominent le monde des calculs financiers.
La première de ces formules est la formule de l’actualisation d’un capital qui se trouve à une date dans le futur. Il faut savoir comme je l’ai déjà précisé que l’argent n’a pas la même valeur à des dates différentes, en finance c’est vérité absolue.
La deuxième formule est un peu la sœur de la première formule, consiste dans la détermination de la valeur d’un capital présent dans une période se situant dans le futur. Il s’agit dans ce cas de la formule de capitalisation.
La troisième formule est celle de la valeur acquise, il s’agit de la valeur d’une suite d’annuités au présent. Les annuités se situent à des dates dans le futur. Dans ce dernier cas, il s’agit simplement de l'actualisation de ces annuités, mais cela peut se calculer par une seule formule.
La quatrième formule est celle de la valeur future d’une suite d’annuités qui se situent. Dans le passé. Ces quatre formules dominent le monde de la finance, car tout calcul financier se réfère à l’une ou l’autre formule. Exemple pour calculer les mensualités d’un crédit, pour le rachat d’un crédit, pour évaluer la rentabilité d’un projet en comparant avec ce que rapporterait un placement d’argent....
À la fin de la vidéo, je vous donne deux exemples pratiques :
- le premier : il s’agit de répondre à la question "combien je dois placer aujourd'hui au taux de dix pour cent pour avoir vingt mille euros dans dix ans ? "
- La deuxième question : " je veux acheter un appartement qui coûte quatre-vingt mille euros dans dix ans, je veux savoir combien je dois placer chaque mois au taux d’un pour cent pour qu’au bout de dix ans je dispose de cette somme qui me permettra d’acheter l’appartement."
Exercice corrigé sur l’élasticité (n°3)
Dans cet exercice, vous allez apprendre à appliquer le concept de l’élasticité sur un cas pratique. Je prend l’exemple du pain, dont le prix par exemple passe de 0,5 à 2€ et la demande passe de dix à onze pains, à la suite de cette diminution du prix. On peut déjà remarquer que la variation du prix est plus forte par rapport à la variation de la quantité demandée. On peut deviner que le calcul de l’élasticité donnerait une valeur comprise entre moins un et zéro, ce qui signifie que la demande est inélastique. La demande inélastique signifie que la réaction des consommateurs face à un changement de prix est très froide.
Effectivement au niveau du calcul dans notre exemple , on trouve une élasticité-prix de la demande égale à -0,13 ce qui est plus élevé que -1. Une élasticité égale à -1 signifie que la variation du prix est proportionnelle à la variation de la demande, mais dans le sens inverse.
Formule des annuités en finance pour les non-nuls
Cette vidéo vous présente la démonstration des deux formules en mathématiques financières : la valeur acquise et la valeur actuelle.
Dans la valeur actuelle, on calcule l’actualisation d’une suite d’annuités qui se situe dans le futur par rapport à la date du calcul. Quant à la valeur acquise ou la valeur future, il s’agit de la capitalisation d’une suite d’annuités constantes vers une date dans le futur.
Ces deux formules sont parmi les plus utilisées dans les calculs financiers. Je présente dans cette vidéo la démonstration de ces deux formules mathématiques, mais l’essentiel reste la manière de s’en servir pour résoudre des problèmes d’ordre pratique. Par exemple : combien je dois placer mensuellement pour que dans trois ans, j’aurais un montant qui me permet d’acheter une belle voiture ? Ou bien, combien je dois prêter pour recevoir une certaine somme d’argent mensuellement pendant un certain temps ? Toutes ces questions et d’autres, les mathématiques financières nous offre l’outil adéquat pour y répondre.
L’exemple que j’ai donné dans cette vidéo est de savoir combien je dois placer au taux de trois pour-cent mensuellement pour me faire rembourser deux cent trente euros chaque mois. La solution de cet exercice consiste simplement dans l’actualisation de chaque mensualité de trois cent trente euros au temps présent, en utilisant la formule de l’actualisation bien sûr que j’ai déjà présenté dans une autre vidéo. Donc la réponse est approximativement de six cent cinquante euros. Donc si quelqu’un prête cette somme avec les mêmes conditions, il relèvera 230€ comme mensualités, et cela pendant trois mois.
Dans les prochaines vidéos, on verra des situations bien concrètes dans ce monde dominé par l’argent.
Les degrés de l’élasticité-prix de la demande (cours n°2)
Comptabilisation de la TVA - lors d'un achat et lors d'une vente de marc...
Comment la valeur de 15000€ peut être inférieur à 20000€ !!!?
Dans cette vidéo, je parle de l’impact de l’inflation sur la valeur de l’argent en termes de pouvoir d’achat. Comme vous le savez, l’argent perd au travers le temps de sa valeur, un euro pouvait acheter beaucoup de choses il y a cinq ans d’ici. Dans ce cours je vous montre comment déterminer ce que peut acheter une somme d’argent à n’importe quelle date dans le temps.
Le pouvoir d’achat est défini par la quantité de bien que peut acheter une monnaie. Et en quelque sorte c’est la vraie valeur de l’argent, car un billet qui ne peut rien acheter n’a aucune valeur.
La BCE fixe ou tente de fixer le taux d’inflation à deux pour-cent (2%) en jouant sur le taux d’intérêt. Mais cela est un autre sujet que j’aborderai certainement dans une autre vidéo. Dans ce cours je me suis basé sur un taux d’inflation de 2%, car c’est plus proche à la réalité.
L’inflation est la perte de valeur de l’argent, on peut la définir comme la hausse généralisée des prix. Quand les prix montent, on n’achète moins de choses avec une même somme d’argent, ce qui revient à diminuer le pouvoir d’achat de la somme en question.
Dans la vidéo, je compare 20000€ aujourd’hui à 18000€ dans dix ans et 15000€ dans 20ans. Le résultat est que 15000€ dans 20 ans aura plus de pouvoir d’achat que 18000€ dans 10ans. Et 18000€ dans 10ans aura plus de pouvoir d’achat que 20000€ aujourd’hui.
Elasticité-prix de la demande, C’EST QUOI ça ?!!
Vous allez apprendre, dans cette vidéo, ce que signifie le concept de l’élasticité-prix de la demande. Pour cela, on se sert des situations vécues dans la vie de tous les jours, comme ce qui s’est produit dans un Intermarché en France lors d’une promotion sur Nutella. La société a réduit le prix de 70% et les consommateurs ruaient sur ce produit d’une manière spectaculaire (une sorte d’émeute). Cela veut dire que le produit de Nutella est très élastique par rapport au prix.
L’élasticité en microéconomie c’est simplement la sensibilité des agents économiques à la suite d’une variation dans les conditions du marché. Quand on s’intéresse à la variation de la demande en fonction de la variation des prix, alors dans ce cas on parle du concept de l’élasticité-prix de la demande.
C’est très intéressant pour l’entreprise de savoir si la demande sur son produit est élastique ou pas, car ça reflète l’importance de l’image que les consommateur font du produit en question.
Dans la prochaine vidéo, j’analyserai les différents degrés de l’élasticité.
Exercices corrigé - les écritures en partie double - comptabilité (cours...
Dans cette vidéo je vous donne la réponse à l’exercice que je vous avais donné dans une autre vidéo. Il s’agit d’un exercice qui vous met en évidence la manière d’enregistrement des opérations dans des comptes à partie double, en forme de T. Je tenais dans cet exercice à ne pas utiliser les comptes de gestion (appelés aussi comptes de résultat) pour éviter de vous donner plus d’informations que ce que vous pouvez assimiler à la fois, donc ce qui aurait ajouté une difficulté à votre apprentissage. Je tiens à ce que les exercices ou bien les cours soient progressifs en apprentissage. Bien sûr plus loin on va aborder de plus en plus de notions, jusque à ce que vous maîtrisez parfaitement les techniques d’enregistrement comptable, et les différentes notions de la comptabilité générale.
Ce qu’il faut bien maîtriser dans ce cours c’est les notions de débit, crédit, solde débiteur, solde créditeur ... et surtout la manière d’enregistrer les mouvements générés par les opérations commerciales. Comment augmenter un compte actif, comme client, banque, caisse, mobilier .... ? Ou comment augmenter ou diminuer la dette d’un compte passif, comme fournisseur, par exemple ? Toutes ces questions sont traitées à travers cet exercice d'application.
Exercices - enregistrement comptable des opérations dans des comptes en ...
Solder un compte en comptabilité, c'est simple !
Fonctionnement des comptes à partie double (cours n°12)
Le compte de résultat : les produits (cours de comptabilité générale n°11)
Comparaison entre les actions et les obligations
Charges et Actif immobilisé - Exercice corrigé
Exercice d'application
Justifiez votre réponse.
Réponse
Les charges et l'actif immobilisé, à ne pas confondre !
Charges et immobilisation, de quoi s’agit-il au juste ?
l’entreprise, c’est à dire les charges ayant comme but de fabriquer le produit, de faire des ventes et dégager un bénéfice. Les autres dépenses sont essentiellement classées sous la catégorie de l’actif immobilisé, elles constituent les biens qui forment le patrimoine de l’entreprise. Cette distinction est essentielle, sinon on peut arriver à un faux résultat, une fausse perte ou un faux bénéfice, à la fin d’une année d’activité (au terme d’un exercice comptable).
Application
Justifiez votre réponse.
Comptabilité générale : Notion du résultat (cours n°8)
Il s’agit d’une notion qu’on peut facilement confondre avec d’autres, comme le bénéfice, le chiffre d’affaires, etc. Ces notions ne signifient pas la même chose. Le résultat est différent du bénéfice car un résultat peut aussi être négatif, dans ce cas on parle d’une perte. Le résultat ne prend le sens du bénéfice que quand il est positif.
Si le résultat peut être négatif, c’est parce qu’il s’obtient par la différence entre deux valeurs : la valeur des charges et la valeur des produits. Les charges sont constituées par l’ensemble des dépenses effectuées dans l’année afin de réaliser le résultat. Les produits sont des ressources acquises, constitués principalement par le volume des ventes (chiffre d’affaires).
Si les produits sont supérieurs aux charges, alors on réalise un bénéfice.
Si les produits sont inférieurs aux charges alors on a une perte.
Donc pour réaliser un bénéfice, le plus élevé possible, il faut minimiser les charges et maximiser les produits. Il importe à ce stade de bien clarifier les types de dépenses qui font partie des charges pour ne pas les confondre avec d’autres dépenses qui n’en font pas partie.