Produit Intérieur Brut (PIB), illustration en IMAGE !

Le produit intérieur brut, ce qui est produit à l'intérieur d'un pays par les entreprises, principalement, est l'un des indicateur les plus utilisé pour classer le développement des pays, ou évaluer le degré du bien être du pays. Il s'agit de la somme des valeurs ajoutées de toutes les entreprises à l'intérieur d'un pays, peu importe leur nationalité. 

Bien sûr, c'est important de savoir combien produit chaque pays, cela reflète le niveau de vie au niveau du pays, car tout ce qui est produit est estimé en terme de revenus : les salariés se payent par des salaires, les propriétaires de l'entreprise par des bénéfices, l'Etat par des taxes et impôt, la banque par des intérêts sur les crédits accordés, ... Toutes ces rémunérations ne sont que la distribution des chiffres d'affaires (nets des consommations intermédiaires) de l'ensemble des entreprises, cela représente en même temps la somme des valeurs ajoutées. La valeur ajoutée est le chiffre d'affaires (volume des ventes) moins les consommations intermédiaires (les produits qui servent à produire d'autres produits).

Enfin je vous laisse découvrir cela en vidéo. N'hésitez pas à ajouter en commentaire ce que vous en pensez, votre avis compte.

La notion du PIB et la manière de le calculer - explication simple pour tout le monde !

Le PIB (produit intérieur brut) représente ce que produit l'ensemble des agents économiques à l'intérieur des frontières d'un pays. 

Une première chose à savoir : cette production ne tient pas compte des consommations intermédiaires (c'est-à-dire tous les biens qui servent à produire d'autres biens), donc on ne calcule dans le PIB que les produits finaux (destinés à la consommation finale). 

Une deuxième chose à savoir : c'est que la valeur du PIB ne concerne que ce qui est vendu sur le marché. C'est logique, car tant qu'un bien n'est pas vendu, on ne peut lui attribuer une valeur. La valeur des biens n'est rien d'autre que ce que les clients sont prêts à payer pour les acquérir. Un bien qui n'est pas vendu, bien qu'il est produit par les entreprises, n'est pas intégré dans le calcul du PIB. 

Sans tarder, je vous laisse regarder pour en comprendre davantage la signification (du PIB).

 

Notions liée à la valeur : valeur ajoutée, valeur d’usage et valeur d’éc...

PIB et croissance économique , une réalité ou une illusion !?

Comment les BANQUES commerciales 🏦 créent de la monnaie 💶💶? 🤷‍♂️

C'est impressionnant le système bancaire, c'est un monde de science fiction par excellence. Si on regarde de près comment la monnaie est créée on trouvera que ça vient au final de rien, une écriture vaux argent, c'est incroyable, c'est de la pure fiction. Si la banque ecrit sur votre compte un milliard d'euros, et bien vous avez un milliard d'euros sur votre compte, vous pouvez en dépenser comme vous voulez. 

Pour comprendre tout cela, étape par étape, je vous laisse voir ma vidéo que j'ai préparée pour partager avec vous ce sujet passionnant. N'hésitez pas à en dire ce que vous en pensez, ça m'intéresse.

 

L’USUFRUIT, c’est quoi ça encore ? 🤷‍♂️ Je vous présente la notion avec un exemple pratique

En droit, une chose interéssante, c'est que la propriété d'un bien donne lieu à plusieurs droits. Si je possède une tablette par exemple, je peux l'utiliser comme je veux, la personnaliser, la rayer, l'oufrir, la jetter (je vais pas le faire !), la casser (je ne suis pas fou !), la mettre en feu (jamais de la vie !), enfin on peut exercer une liste de droit sur quelque chose qui fait partie de ce qu'on possède. 

Ces droits-là sont catégorisé en trois : 

- Droit d'user du bien : c'est tout ce qui est lié à l'utilisation du bien 
- Droit d'en percevoir les fruits : principalement par la location ou le prêt 
- Droit de disposer du bien : là on aura tout ce qui fait disparaitre le bien, par la vente normalement, mais pas que !

Les deux premiers droits ensemble forme ce qu’on appelle usufruit, c’est-à-dire l’usage du bien et la perception des fruits sur le bien (les loyers par exemple pour un appartement)

Je vous laisse découvrir tout cela en vidéo, n'hésitez pas à jouter votre commentaire, c'est interéssant de savoir ce que vous en pensez.

 

Calculer la TVA dans une facture, trop chargé, ce n'est pas évident !




Je vous présente dans ce cours la procédure à suivre pour déterminer la base imposable de la TVA (la taxe sur la valeur ajoutée). La base imposable c'est simplement le montant sur quoi on applique le taux de TVA, ce qui donne le montant de la TVA.

Bien sûr dans une facture simple, comme c'est souvent le cas, on multiplie simplement le prix par le taux de TVA et on obtient le montant de TVA. Mais, le calcul se complique quand on a dans une facture, plusieurs éléments comme : une remise, un escompte, des frais d'assurances, de transport, emballage, plusieurs marchandises à des taux de TVA différents ...


Dans cette vidéo, je vous montre étape par étape comment on procède pour déterminer la base imposable afin de calculer la TVA. En général, on part de notre prix brut puis on retire les trois R (rabais, remise, ristourne) s'il y en a dans la facture. Ce calcul nous donne notre prix net. Puis on dans un calcul séparé du contenu de la facture, on retire l'escompte du prix net et on ajoute les frais accessoires pour obtenir la base imposable. On retire l'escompte avant les frais accessoires, car l'escompte ne s'applique que sur le prix net et non les frais accessoires. Donc, une fois on arrive à notre base imposable, on applique notre taux de TVA s'il y en a qu'un dans la facture, et on obtient notre montant de TVA.

Une fois qu'on a notre montant de TVA, on l'ajoute au niveau de la facture au prix net, on y ajoute les frais accessoires également, ce qui donne le prix à payer de la facture.

Ces étapes s'appliquent aussi dans le cas où une facture présente plusieurs marchandises à des taux différents de TVA. Dans cette situation, on sépare les marchandises en fonction de leur taux. On met par exemple les marchandises au taux de 6% ensemble, celles au taux de 12% ensemble et pareil pour 21%. Puis applique la même procédure pour chaque groupe de marchandises.

Voilà, j'espère que c'est clair pour vous, sinon dites-moi dans les commentaires ce que vous en pensez...

La balance des comptes en comptabilité générale (cours n° 25)



Pour bien comprendre comment on complète ce document, on prend l’exemple du compte « Banque ». Dans les deux premières colonnes, on reporte successivement le total débit et le total crédit du compte. Donc, le compte « Banque » a 60 000 (45 000 + 15 000) comme total au débit, c’est bien le montant que vous trouvez au niveau de la première colonne en face du compte en question. Dans la seconde colonne, toujours en face du compte « Banque », on met le total crédit, qui s’élève à 20 000 (19 000+ 1 000). Puis, dans les deux dernières colonnes, pour chaque compte, on a soit un solde créditeur (si le total crédit est supérieur au total débit), soit un solde débiteur (si le total débit est supérieur au total crédit). Dans le cas du compte « Banque », il s’agit d’un solde débiteur de 40 000 (60 000 – 20 000).

L’une des choses importantes que permet la balance, c’est de vérifier si nos enregistrements comptables sont corrects. Pour cela, il faut avoir les mêmes totaux généraux, à la fois au niveau des deux premières colonnes (total débit et total crédit) et des deux dernières colonnes (total solde débit et total solde crédit).

La deuxième chose importante de la balance, c’est qu’elle permet de déterminer le bénéfice (ou perte). Vous voyez bien qu’au niveau des totaux des classes, on n’a pas les mêmes chiffres dans les deux premières colonnes et non plus dans les deux dernières colonnes. Donc, la balance n’est pas équilibrée. On peut expliquer ce déséquilibre par la différence qu’il y a entre les charges et les produits. C’est bien cette différence qui donne le résultat de l’entreprise (bénéfice ou perte).

Cette différence peut donner lieu à deux possibilités distinctes :

 - Soit un bénéfice. Dans ce cas, on crédite le compte 14 Bénéfice reporté et on débite le compte 693 Bénéfice à reporter.

- Soit une perte. Dans ce cas, on débite le compte 14 Perte reportée et on crédite le compte 793 Perte à reporter.

Dans notre exemple, comme on l’a déjà précisé, il s’agit bien d’un bénéfice de 500€ puisque les produits (1 500€) sont supérieurs aux charges (1 000€).

Fais-tu la nuance entre Rabais, Remise, Ristourne et Escompte ?


Un rabais, une remise, une ristourne et un escompte sont des réductions appliquées sur le prix. Les trois premières notions sont des réductions commerciales, car elles s'obtiennent sous des conditions liées à l'opération d'achat et vente de marchandises ou de prestation de service. La dernière réduction, qui est l'escompte, est une réduction financière, car ça concerne la mise à disposition de l'argent dans le temps entre les mains du vendeur, ce qui est considéré comme un aspect plutôt financier. Car, le vendeur peut placer l'argent de la vente dans le cas où l'acheteur le paye avant l'échéance (la date ultime prévue du paiement) et encaisser des intérêts.

Un rabais s'obtient dans le cas de non-conformité avec ce qui a été commandé, soit par exemple la qualité n'est pas celle prévue, soit la marchandise est défectueuse. On peut avoir droit à un rabais dans le cas d'un retard au niveau de la livraison.

Une remise est une réduction normale à proprement parler, ça peut s'agir d'une promotion, d'une réduction du prix pour faire plaisir au client, ou parce que le client est un fidèle, achète en grande quantité ...

Une ristourne est une réduction périodique qui s'applique sur tous les achats effectués par le client durant une période. Cette réduction peut être appliquée sur les prochains achats du client.

Un escompte est une réduction financière, car elle est liée simplement à la date du paiement. Comme vous le savez, le temps en finance c'est de l'argent, donc le fait d'avoir à disposition une somme d'argent aujourd'hui, c'est mieux que dans trois mois par exemple. Car si on dispose de l'argent de la vente aujourd'hui au lieu de trois mois plus tard, on peut placer cet argent pour trois mois et avoir des intérêts à l'échéance. C'est pour cette raison qu'il s'agit d'une réduction financière et non commerciale.

Exercice corrigé en comptabilité générale



Exercice complet et corrigé en comptabilité générale.

Dans cette vidéo je vous explique en détail comment effectuer un exercice complet en comptabilité générale.

Ce type d’exercice est typique par rapport aux exercices de comptabilité générale, car dans ce genre de question on parcourt toutes les étapes qu’on effectue pratiquement lors d’un exercice comptable, au sens comptable du terme. C’est à dire, ce que l’entreprise comptabilise depuis le bilan initial et l’ouverture des comptes jusqu’à la clôture des comptes et l'établissement du bilan final.

Ce que vous allez surtout apprendre au travers de cet exercice est surtout comment enregistrer les opérations commerciales en comptabilité avec la technique de la partie double. Vous allez apprendre à maîtriser les mouvements au niveau de chaque opération commerciale. Le but c’est de garder l’équilibre au niveau débit et crédit de l’ensemble des comptes, et ce pour chaque opération enregistrée.

Une fois les opérations sont enregistrées dans le grand-livre, dans le livre des comptes, on passe à l’étape suivante qui est de solder les comptes, ce qui s’effectue en mettant chaque compte en équilibre dans ses deux colonnes : débit et crédit. Si on a plus de débit que de crédit, alors on ajoute une somme au niveau crédit du compte de sorte que "total débit" soit égale au "total crédit", et cette somme ajoutée est bien ce qu’on appelle un solde débiteur. Dans le cas contraire ou total crédit est supérieur, on équilibre les deux colonnes en ajoutant un solde créditeur au niveau de la colonne débit du compte en question.

Après la clôture des comptes, on passe au calcul du résultat. Qui s’obtient simplement par la différence entre les produits et les charges. Dans notre exemple on a un résultat positif, donc il s’agit bien d’un bénéfice. Un bénéfice est une nouvelle ressource pour l’entreprise qui doit s’ajouter au passif du bilan.

La dernière étape est d’établir le bilan final. Mais il faut savoir qu’avant cette étape, l’entreprise doit procéder à ce qu’on appelle l’inventaire. Il s’agit de calculer et d’évaluer les dettes et les avoirs du bilan, et surtout le stock des marchandises. Mais dans l’exercice, j’ai évité de compliquer ces étapes par une opération d'inventaire. Le fait que les marchandises qui étaient en stock restent toujours les mêmes. Dans les opérations comptabilisées, les marchandises achetées sont les mêmes que celles vendues.

Au niveau du bilan final, on met simplement les soldes des comptes à la place des montants précédents. Et s’il y a de nouveaux comptes qui sont utilisés lors de la comptabilisation des différentes opérations commerciales, comme TVA à récupérer ou TVA à payer, et bien on les ajoute dans le bilan final. Ce qui est bien le cas dans cet exercice.

Voilà j’espère que vous avez bien appris des choses lors de. Cet exercice, sinon n’hésitez pas de réagir en commentaire.

L’ART d’investir en bourse de WARREN BUFFETT



Pour investir en bourse, on peut adopter plusieurs stratégies différentes. Celle qui a fait ses preuves au niveau de la bourse est celle de Warren Buffett. C’est un milliardaire américain qui a commencé à investir en bourse depuis son plus jeune âge. Sa stratégie d’investissement est caractérisée par une grande prudence. Il achète les actions en bourse pour le très long terme, comme si on achetait un bien immobilier. Celui qui achète un appartement par exemple est très exigeant sur chaque détail, pour Warren Buffett c’est exactement la même chose au niveau de l’achat des actions en bourse. Il n’investit jamais dans les modèles d’entreprise qu’il ne connaît pas. Pour lui c’est primordial de comprendre ce que fait l’entreprise, sinon ce n’est pas logique de la mettre dans le portefeuille d’actions. Puis il faut que l’entreprise soit de grande taille, car les petites et moyennes entreprises ont un grand risque sur le marché pour le long terme, car elles peuvent être supprimées par la concurrence des grandes entreprises avec le temps. Ce qui permet de déterminer la taille de l’entreprise est ce qu'on appelle la capitalisation boursière. Il s’agit simplement de la valeur totale de toutes les actions de l’entreprise en bourse. C’est en quelque sorte la valeur de l’entreprise.

Puis il y a des ratios financiers qui reflètent la santé financière des entreprises.

L’un de ces ratios est "Price To Book value". Il s’agit de la capitalisation boursière de l’entreprise divisée par les actifs de l’entreprise moins les dettes . Cela veut dire qu’on tient compte uniquement de ce que possède l’entreprise, ce qui forme sa véritable valeur. Donc ce ratio indique bien la valeur de l’action par rapport à la valeur de l’entreprise en termes d’actif. Ce ratio ne doit pas être supérieur à quatre, Sinon on paye trop l’action, car elle est surévaluée, si elle se situe au-delà de quatre. Normalement l'action est déjà surévalué quand le ratio est supérieur à un, mais on accepte qu’il soit supérieur à un car il y a d’autres valeurs dans les actifs de l’entreprise comme son image par exemple et qui ne sont pas pris en compte dans le calcul du ratio, car c'est difficile d'évaluer l'image de l'entreprise.

Il y a aussi le ratio "Price Earning Ratio" (PER). Ce ratio est égale à la capitalisation boursière sur le résultat net de l’entreprise. Ou bien c'est aussi le cours de l’action sur le bénéfice net par action. il indique le nombre d’années qu’il faut pour l’entreprise afin d’accumuler autant de bénéfices que la capitalisation boursière de l’entreprise. Autrement dit, il s’agit de savoir combien d’années il faut pour que les bénéfices par action couvrent totalement de cours de l’action (son prix sur le marché). Ce ratio doit être inférieur à 15.

Il y a aussi le "Return on Investment" (ROI) ou le retour sur investissement en français. Il s’agit de savoir combien l’entreprise gagne par chaque cent euros investi. Ce ratio doit être supérieur à 15% pour juger que l’entreprise progresse bien financièrement. Cela signifie que pour chaque cent euros investi, l’entreprise gagne quinze euros.

Voilà, mais il y a encore d’autres ratios utilisés par Warren Buffet dans sa stratégie d'investissement en Bourse, mais cela fera peut-être l’objet d’un nouveau cours prochainement.

Exercice complet de comptabilité générale (cours n 23)



Dans cette vidéo je vous donne un exercice complet en comptabilité générale à faire. Il s’agit de répondre aux questions suivantes :
–établir le bilan initial
–effectuer l’ouverture des comptes
–comptabiliser les opérations dans des comptes en partie double
–Clôturer les cours
–calculer le résultat
–établir le bilan final

La situation de l’entreprise est la suivante :
– Bâtiments 20 000 €
– Capital… ?
– Caisse 500 €
– Clients 5200 €
– Fournisseurs 1300 €
– Mobilier 11 000 €
– Marchandises 10 000 €

Opérations commerciales à enregistrer :
Première opération : achat de marchandises 2300 € hors TVA, le taux de TVA est de 21 % (facture numéro 1)
Deuxième opération : paiement de la facture numéro une par la banque
Troisième opération : vente des marchandises achetées à 3500 € hors TVA plus TVA de 21%
Quatrième opération : nous recevons une facture d’électricité de 150 €, plus 6 % de TVA
Cinquième opération : paiement de la facture d’électricité par la banque

Combien fallait-il investir en bourse pour être millionnaire aujourd’hui...





Dans cette vidéo, je vais vous présenter une liste d’entreprises qui ont bien performé durant les dix dernières années en bourse. La question à laquelle je vais répondre au travers cette vidéo est de savoir combien fallait-il investir en bourse, dans ces entreprises, pour qu’aujourd’hui la valeur de l’investissement devient ou génère un million d’euros.

Il y en a cinq entreprises dont l’action a très bien progressé en dix ans.

La première de ces entreprises est Microsoft. L’action de cette entreprise a très bien évolué ces dernières années. Pour devenir millionnaire aujourd’hui en ayant investi dans les actions de Microsoft il y a dix ans, il fallait investir un peu plus de cent mille euros. C’est-à-dire que le capital investi se double chaque année en moyenne. De cent mille à un million, il y a une multiplication de l’argent investi par dix.

La deuxième société, qui a fait mieux que Microsoft, est Apple. Si on avait investi moins que cent mille euros il y a dix ans, on aurait aujourd’hui une valeur d’un million d’euros en action d’Apple.

La troisième entreprise qui a performé mieux qu’appelé est Amazon. Son cours actuellement il s’approche de trois mille euros l’action alors qu’il y a dix ans c’était au alentour de cent seize euros. Une progression phénoménale. Il aurait suffi d’avoir investi quelques dizaines d’euros pour accumuler des centaines de milliers d’euros actuellement.

 La quatrième entreprise est Netflix, qui a très bien progressé ces dernières années. Car cette entreprise a pu concurrencer dans le monde entier le domaine des médias en proposant des offres très concurrentielles et assez diversifiées à des prix défiant toute concurrence. Son cours passe de quelques dizaines de dollars à plus de quatre cents dollars actuellement.

La dernière entreprise que je vous présente a évolué dès le début de cette année 2020 d’une façon rarement vue en bourse. Cette entreprise c’est Tesla. C’est une entreprise qui investit dans tout ce qui énergie renouvelable, des voitures électriques. Enfin bref, dans tout ce qui est respectueux de la nature, c’est pour cela que médiatiquement, cette entreprise est très appréciée. Cela peut expliquer cette évolution phénoménale du cours de son action. Ce qui peut être juste une bulle spéculative, car des analystes prévoit que cette action grimpera jusque 4 ou 5 000 $ dans les quelques prochaines années à venir. Il faut faire attention, quand on achète des actions en bourse, à ne pas acheter des actions dont la valeur est gonflée par une bulle spéculative, car quand cette bulle s’éclatera, le cours tombera en chute libre, il peut même descendre plus bas que la juste valeur de la l’action en question.

Voilà les cinq entreprises qui ont bien performé durant les 10 dernières années. Mais au contraire de ces entreprises il y a aussi des entreprises qui ont mal performé. Je cite comme contre-exemple la multinationale Hertz, une entreprise américaine qui est actuellement dans un processus de faillite. Son cours était, il y a dix ans, dans les quarante dollars et actuellement il est à un dollar cinquante, et il continue de descendre. Normalement, il doit finir à zéro si l’entreprise finalise son processus de mise en faillite.

Amortissement linéaire et amortissement dégressif (cours n°22)



Dans cette vidéo je vous explique la notion de l'amortissement, son implication sur le bilan comptable et le compte de résultat, et les différentes méthodes d'évaluation de l’amortissement.

L’amortissement c'est simplement la dépréciation de la valeur d'un bien, c'est à dire la perte de sa valeur dans le temps. cette perte de valeur peut avoir plusieurs causes : l'usage, le temps,la technique, ...

Puisque on ne sait pas exactement évaluer avec précision la perte de valeur d'année en année, on a recourt à des méthodes d'amortissement dans ce cadre, je vous présente deux méthodes : la méthode de l'amortissement linéaire et la méthode de l’amortissement dégressif.

Dans l’amortissement linaire, on suppose que la perte de valeur du bien est la même chaque année. donc pour estimer cette perte on divise simplement la valeur du bien par la durée d'utilisation. Cette durée est exprimée en nombre d'année d'utilisation. cela nous donne la charge d’amortissement à comptabiliser annuellement. Donc suite à cette charge d’amortissement, la valeur comptable du bien doit s'afficher au bilan suivant au prix d'acquisition du bien moins la somme d'amortissement comptabilisée comme charge. l'impact sur le résultat de l'entreprise est une diminution d'un même montant.

Au niveau de l’amortissement dégressif, on considère que les biens perdent beaucoup de leur valeur les premières années d’utilisation que les dernières années, donc on amortit une grande somme au début, qui peut aller jusqu'à quarante pour-cent de la valeur du bien. On continue chaque année à amortir 40%, appliquée sur la valeur comptable du bien, jusqu'à ce que le montant de l'amortissement se trouve inférieur à celui comptabilisé dans la méthode de l'amortissement linéaire, et à partir de ce moment-là on bascule la méthode vers celle de l'amortissement linéaire.

Investir en bourse et devenir astronomiquement riche



Comment investir en bourse ? Pourquoi investir ? C’est quoi la différence entre investissement et consommation ? Toutes ces questions sont intéressantes, car au niveau de la société on influence toujours les gens à consommer davantage sans jamais les influencer à investir. C’est quoi la différence entre les deux, et bien l’investissement est la création de richesse et la consommation est la destruction de la richesse. Un consommateur détruit la richesse et un investisseur crée de la richesse. C’est un processus qui forme des mouvements cycliques, et qui sont au cœur du fonctionnement de la machine économique.

Au niveau de la bourse, tout le monde peut investir, et c’est une révolution incroyable car ça libère l’investissement pour le rendre accessible à tout le monde, mais peu de gens le savent et peut de gens investissent, par contre tout le monde consomment car l'idéologie du
système est fait pour former des bons consommateurs mais jamais des bons investisseurs
.

La bourse est un marché financier où se rencontre directement et sans intermédiaire les investisseurs, c’est à dire ceux qui ont de l’argent, et les d’entrepreneurs qui possèdent des projets d’investissement. C’est un système différent du système bancaire classique. Au niveau de la bourse on peut investir en achetant des titres boursiers. Il y en a de plusieurs types, mais on peut citer principalement les actions et les obligations.

Une action est une fraction du capital de l’entreprise. Le capital de l’entreprise est le cœur du projet de l’entreprise, il représente ça véritable valeur. Donc quand on achète une action, on devient actionnaire, en quelque sorte un copropriétaire de l’entreprise mais proportionnellement à la valeur des actions achetées par rapport à la capitalisation boursière de l’entreprise. La capitalisation boursière c’est simplement la valeur total de toutes les actions que l’entreprise émette sur le marché boursier.

Par contre une obligation c’est simplement un titre de créance, c’est à dire que l’entreprise reconnaît avoir reçu un prêt de votre part, ce qui vous donnera droit à des intérêts régulièrement, jusqu’à l’a fin du contrat de prêt. Au niveau des action on a plutôt droit à des dividendes, les dividendes sont des parties de bénéfices. Quand l’entreprise dégage des bénéfices, elle distribue des dividendes aux actionnaires. Mais pas toutes les entreprise le font systématiquement, ça dépend de la politique de distribution des dividendes de chaque entreprise. Il y a dans ce cadre des entreprises, surtout américaines, qui fixent comme objectif de ne jamais rater la distribution des dividendes, car ça attire les investisseurs qui cherchent ce genre de revenu (les dividendes).

Au niveau de la bourse on peut représenter deux pratiques, à savoir : le trading et l’investissement.

Le trading c’est simplement le fait de spéculer sur l’évolution d’une action à très court terme. On achète une action par exemple puis on attend que le cours monte afin de la vendre et faire une plus-value. Cela constitue une pratique très risquée car la plus part des particuliers qui se lance dans ce genre de pratique perdent leur argent avant la fin de l’année de leur activité en bourse, c'est un fait statistique.

La deuxième pratique et celle de l’investissement à proprement parler. Il s’agit d’acheter une action et la garder pour le long terme, car on s’intéresse véritablement au modèle de l’entreprise et on veux s’engager dans son projet d’investissement. Cette dernière pratique à fait beaucoup de millionnaires, voire même des milliardaires, comme Warren Buffet par exemple. C’est le deuxième homme le plus riche de la planète après Jeff bezos (le patron d'Amazon). Warren Buffet a une stratégie d’investissement bien claire, qui se base sur des critère bien définis dont je vais parler dans la prochaine vidéo.

Fonctionnement du livre-journal en comptabilité (cours n° 21)



Un livre-journal et un document comptable qui permet d'enregistrer les opérations comptables au jour le jour. C'est dans ce document qu'on inscrit d'abord les opérations à comptabiliser, puis on reporte les enregistrements dans les comptes à partie double.

Le livre-journal se compose de plusieurs colonnes : la première colonne est pour noter les numéros des opérations ; la deuxième, elle se partage en deux petites colonnes, dans la première on note les numéros du plan comptable des comptes à débiter et la deuxième est consacrées aux numéros de compte à créditer ; la troisième colonne est importante, car c'est à cet endroit-là qu'on enregistre l'opération comptable à proprement parler ; dans la dernière colonne, qui est partagée aussi en deux petites colonnes, on met les montants des comptes à débiter dans la première et les montants des comptes à créditer dans la deuxième.


Techniques pour enregistrer facilement les opérations comptables en comp...



Le fonctionnement des comptes à partie double en comptabilité et très important. Il s'agit de toute la logique sur laquelle se basent les enregistrements des opérations comptables. Il faut absolument la maîtriser cette logique pour enregistrer correctement et sainement les opérations commerciales dans la comptabilité d'une entreprise.

Dans cette vidéo, je vous explique comment ça fonctionne cette logique d'enregistrement des opérations dans des comptes à partie double (sous forme de T). Pour mieux maîtriser ce sujet, il faut commencer par quelques techniques de bases qui simplifient la compréhension des mouvements à enregistrer.

- Tout d'abord, on met les comptes de passif et de produits à droite ; et les comptes d'actif et de charges à gauche. De cette manière on sait qu’à l'extrémité des comptes ça augmente. C'est-à-dire que les comptes actifs et de charges augmentent au débit et les comptes passifs et de produits augmentent au crédit, donc ce qui est au milieu représente les diminutions. Avec cette disposition des comptes, on simplifie déjà la technique d'enregistrement des mouvements dans des comptes à partie double en comptabilité.

- Puis une chose importante aussi, dont il faut absolument tenir compte, c'est que le total débit et le total crédit doit toujours être d'une même somme, et cela au niveau de chaque opération comptable à enregistrer.

Exercice corrigé en mathématiques financières



Dans cette vidéo, je vous explique comment on peut appliquer des formules de mathématiques financières à des problèmes pratiques. Les formules dont je parle sont les formules les plus utilisées pour tout calcul financier. Dans notre exemple, je réponds à deux questions de cette nature.

Il s’agit simplement de répondre aux questions du genre : combien je dois placer aujourd’hui pour qu’au bout de dix ans je reçoive une somme de 80000€. Ou bien, on peut répondre à des problèmes financiers pratiques du genre : combien je dois placer mensuellement pour que dans trente ans j’aie une pension ou un revenu grâce à mes placements de trois mille euros.

 Les quatre formules sont :
 - la formule de l’actualisation d’un capital se situant dans le futur ;
 - la formule de capitalisation d’un capital qu’on détient au moment présent ;
- la formule de la valeur acquise d’une suite d’annuités ou de mensualités ;
- et la dernière formule est la formule de la valeur future d’une suite d’annuités ou de mensualités.

Savoir appliquer la bonne formule parmi ces quatre et une compétence importante pour être un bon financier. L'une des étapes les plus importantes pour y parvenir est de placer correctement les données dont on dispose sur la ligne du temps, puis appliquer la formule financière adéquate pour répondre aux problème posé. Cette compétence peut s'acquérir avec des exercices sur différents problèmes et situations de tous les jours. En réalité on peut résumer toutes ces formules en une seule, qui est capital, à savoir celle qui permet de faire voyager la valeur de l'argent dans le temps, soit vers le futur soit en revenant en arrière dans le passer. C'est bien de cela que toutes ces formules sont déduites.

Une lecture athlétique du texte, ulra-rapide (apprendre à lire rapidement)


La lecture rapide et la lecture scolaire, c’est quoi la différence ? À l’école on apprend aux élèves à lire en prononçant les mots, ce qui devient avec le temps un vrai handicap à la vitesse de lecture, car on habitude le cerveau à donner sens à ce qu’on prononce plutôt que à ce qu’on voit.

Dans la lecture rapide on supprime cette intermédiation entre le texte et la réception du sens par le cerveau, cette intermédiation s’appelle la subvocalisation, c’est à dire qu’on prononce intérieurement le texte pour pouvoir le comprendre. Ce qui constitue un vrai entrave à la vitesse de lecture, mais aussi à la compréhension du texte. Au niveau de la lecture rapide, on habitue le cerveau à donner sens au texte comme on donne sens à ce qu’on voit , aux images, aux personnes ... on n'a pas besoin de prononcer le prénom d’une personne pour se rendre compte de qui c’est véritablement cette personne, il suffit on le voit et notre cerveau le reconnaît tout de suite. C’est bien ce qui doit être fait au niveau des mots aussi, on doit les reconnaître visuellement sans passer par la subvocalisation. Pour cela il faut faire beaucoup d’exercices.

Il y a aussi ce qu’on appelle l'empan visuel, il s’agit de la quantité de texte qu’on peut voir et comprendre. Dans la méthode scolaire, on apprend aux élèves à lire mot à mot, comme si on ne peut pas comprendre plus qu’un mot à la fois, ce qui est une erreur, car on peut voir toute un paragraphe et le comprendre visuellement, tout comme on comprend un mot tout seul. Mais pour arriver à ce stade de reconnaissance d’un groupe de texte, il faut faire énormément d’exercices, et sur une longue période. Finalement très peut de gens savent lire, avec cette méthode qui est la plus adaptée à notre cerveau, car la méthode scolaire et très handicapante et très fatigante pour notre cerveau.

La vitesse la plus rapide pour une lecture à haute voix ne peut pas dépasser 250 mots/minute. Or, au niveau de la lecture rapide, on peut dépasser 2000 mots par minute. C’est une lecture qui se fait uniquement avec les yeux, sans prononcer les mots, même intérieurement, car c’est justement ça qui ralenti la lecture, et réduit au même temps la compréhension car c’est un intermédiaire inutile entre la perception du texte et l’interprétation du sens par le cerveau.

Exercices corrigés sur les calculs relatifs à la TVA



Cet exercice est très fréquent. Le fait de calculer et déterminer l’un ou plusieurs éléments qui forment le prix TTC entraîne une compréhension meilleure des calculs liés à la TVA. Dans cet exercice, je réponds à trois questions différentes sur la manière de déterminer l’un des éléments relatifs au calcul de la TVA, à savoir : le prix HTVA, le montant de la TVA, le taux de la TVA et le prix TTC. avec :

HTVA : hors TVA
TVA : Taxe sur la valeur ajoutée
TTC : toutes taxes comprises

Il s’agit en fait de savoir résoudre une équation à une seule inconnue, car dans ce genre de question on cherche toujours à déterminer l’un des quatre éléments en fonction des autres. La formule générale est : "prix HTVA + montant de TVA = prix TTC", avec "montant de TVA = Prix HTVA x Taux de TVA". Si on remplace le montant de la TVA dans la première équation on en trouvera une autre :

Prix HTVA (1+ Taux de TVA) = Prix TTC.

Voilà il suffit de jouer avec ces formules, en remplaçant ce qui est déjà connu, puis on trouve ce qui est inconnu.

Comment calculer la TVA dans des situations différentes ?



Dans cette vidéo, je vous donne quelques exercices pour mieux maîtriser les calculs relatifs à la TVA (la Taxe sur la Valeur Ajoutée).

Il faut savoir calculer la TVA dans des situations différentes : par exemple, vous disposez du taux de la TVA, du montant TTC (Toutes Taxes Comprises) et vous cherchez le prix HT (Hors TVA) ainsi que le taux de la TVA.

Pour mieux répondre à ce genre de question, il suffit de comprendre de quoi est composé le prix TTC. Une fois que vous pouvez mettre en relation l’ensemble des éléments relatifs à la TVA à savoir : le prix HTVA, le Prix TTC, le Taux et le montant de la TVA.

Ces quatre éléments sont liés dans une équation simple. Une fois qu’on remplace dans cette équation les différentes données dont on dispose, on se trouve très vite avec une petite équation à une seule inconnue. Ce qui est facilement trouvable avec la magie des mathématiques.

Dans la prochaine vidéo, je vous donne tous ces éléments pour les appliquer dans n’importe quelle situation.

Les quatres formules les plus utilisées en finance (cours de mathématiqu...



Dans cette vidéo, je vous présente les quatre formules les plus utilisées en mathématiques financières. Ces formules dominent le monde des calculs financiers.

La première de ces formules est la formule de l’actualisation d’un capital qui se trouve à une date dans le futur. Il faut savoir comme je l’ai déjà précisé que l’argent n’a pas la même valeur à des dates différentes, en finance c’est vérité absolue.

La deuxième formule est un peu la sœur de la première formule, consiste dans la détermination de la valeur d’un capital présent dans une période se situant dans le futur. Il s’agit dans ce cas de la formule de capitalisation.

La troisième formule est celle de la valeur acquise, il s’agit de la valeur d’une suite d’annuités au présent. Les annuités se situent à des dates dans le futur. Dans ce dernier cas, il s’agit simplement de l'actualisation de ces annuités, mais cela peut se calculer par une seule formule.

La quatrième formule est celle de la valeur future d’une suite d’annuités qui se situent. Dans le passé. Ces quatre formules dominent le monde de la finance, car tout calcul financier se réfère à l’une ou l’autre formule. Exemple pour calculer les mensualités d’un crédit, pour le rachat d’un crédit, pour évaluer la rentabilité d’un projet en comparant avec ce que rapporterait un placement d’argent....

À la fin de la vidéo, je vous donne deux exemples pratiques :

- le premier : il s’agit de répondre à la question "combien je dois placer aujourd'hui au taux de dix pour cent pour avoir vingt mille euros dans dix ans ? "

- La deuxième question : " je veux acheter un appartement qui coûte quatre-vingt mille euros dans dix ans, je veux savoir combien je dois placer chaque mois au taux d’un pour cent pour qu’au bout de dix ans je dispose de cette somme qui me permettra d’acheter l’appartement."

Exercice corrigé sur l’élasticité (n°3)


Dans cet exercice, vous allez apprendre à appliquer le concept de l’élasticité sur un cas pratique. Je prend l’exemple du pain, dont le prix par exemple passe de 0,5 à 2€ et la demande passe de dix à onze pains, à la suite de cette diminution du prix. On peut déjà remarquer  que la variation du prix est plus forte par rapport à la variation de la quantité demandée. On peut deviner que le calcul de l’élasticité donnerait une valeur comprise entre moins un et zéro, ce qui signifie que la demande est inélastique. La demande inélastique signifie que la réaction des consommateurs face à un changement de prix est très froide.

Effectivement au niveau du calcul dans notre exemple , on trouve une élasticité-prix de la demande égale à -0,13 ce qui est plus élevé que -1. Une élasticité égale à -1 signifie que la variation du prix est proportionnelle à la variation de la demande, mais dans le sens inverse.

Formule des annuités en finance pour les non-nuls



Cette vidéo vous présente la démonstration des deux formules en mathématiques financières : la valeur acquise et la valeur actuelle.

Dans la valeur actuelle, on calcule l’actualisation d’une suite d’annuités qui se situe dans le futur par rapport à la date du calcul. Quant à la valeur acquise ou la valeur future, il s’agit de la capitalisation d’une suite d’annuités constantes vers une date dans le futur.

Ces deux formules sont parmi les plus utilisées dans les calculs financiers. Je présente dans cette vidéo la démonstration de ces deux formules mathématiques, mais l’essentiel reste la manière de s’en servir pour résoudre des problèmes d’ordre pratique. Par exemple : combien je dois placer mensuellement pour que dans trois ans, j’aurais un montant qui me permet d’acheter une belle voiture ? Ou bien, combien je dois prêter pour recevoir une certaine somme d’argent mensuellement pendant un certain temps ? Toutes ces questions et d’autres, les mathématiques financières nous offre l’outil adéquat pour y répondre.

L’exemple que j’ai donné dans cette vidéo est de savoir combien je dois placer au taux de trois pour-cent mensuellement pour me faire rembourser deux cent trente euros chaque mois. La solution de cet exercice consiste simplement dans l’actualisation de chaque mensualité de trois cent trente euros au temps présent, en utilisant la formule de l’actualisation bien sûr que j’ai déjà présenté dans une autre vidéo. Donc la réponse est approximativement de six cent cinquante euros. Donc si quelqu’un prête cette somme avec les mêmes conditions, il relèvera 230€ comme mensualités, et cela pendant trois mois.

Dans les prochaines vidéos, on verra des situations bien concrètes dans ce monde dominé par l’argent.

Les degrés de l’élasticité-prix de la demande (cours n°2)



Le degré de l’élasticité-prix de la demande désigne à quel point la variation du prix peut impacter la demande des clients, soit à la hausse ou à la baisse.
Je vous présente dans cette vidéo les différents degrés de l’élasticité, notamment : quand la demande est élastique, dans ce cas la mesure de l’élasticité est inférieur à moins un. Cela signifie que la variation de la demande et élevée proportionnellement à la variation du prix. Si par exemple les prix augmentent de 25% alors la demande va diminuer plus que 25%, pareil dans le sens inverse.

Quand la demande et le prix varie dans les mêmes proportions alors on parle dans ce cas d’une demande unitaire. Si le prix augmente de 30% par exemple, la demande augmentera aussi de 30%. Quand la réaction de la demande est faible par rapport à la variation du prix, dans ce cas on parle d’une demande inélastique. Si par exemple le prix baisse de 20% alors la demande n’augmentera que de 5 ou 10% par exemple. Quand la demande ne réagit pas à la suite d’une variation du prix, alors on parle d’une demande parfaitement inélastique. Inversement quand la demande réagit d’une manière exponentiel relativement à une petite variation du prix, alors on parle dans cette situation d’une demande parfaitement élastique.

Comptabilisation de la TVA - lors d'un achat et lors d'une vente de marc...



Comme on l’a démontré dans le cours précédent, la TVA est neutre pour l’entreprise. Donc, cela signifie que la TVA n’est pas une charge pour l’entreprise puisque c’est le consommateur final qui la paye intégralement. De même, il ne s’agit pas d’un produit puisque c’est à l’État que revient la taxe en question.

Si la TVA n’est ni charge, ni produit, alors elle est forcément, soit une dette envers l’État quand il s’agit d’une TVA à payer (qui doit donc figurer au passif du bilan), soit une créance quand il s’agit d’une TVA à récupérer de l’État (à figurer à l’actif du bilan).

Dans le cas d’achat de marchandises, si on reprend l’exemple du menuisier, comment va-t-il procéder pour enregistrer son achat dans sa comptabilité ?
Le menuisier a effectué l’opération suivante :
- Achat du bois au prix de 150€ HTVA, avec une TVA de 21% (31,5€). (Supposons que le menuisier dispose d’un délai de paiement pour ses factures).
Dans cette opération, on a une dette envers le fournisseur (l’agriculteur) qui s’élève au prix total (TVA comprise) de la facture : 150€+31,5€=181,5€. Cette augmentation de dette doit être enregistrée au crédit du compte passif « Fournisseurs » en contrepartie, on a :
- une augmentation de charges qui doit s’enregistrer au débit du compte « Achat de marchandises ». Cette augmentation s’élève au prix hors TVA de la marchandise.
- une augmentation de créance représentée par le compte d’actif « TVA à récupérer ».

Dans le cas de vente de marchandises, la deuxième opération que le menuisier effectue est la suivante :
- vente de marchandises (une armoire) à un client au prix HTVA de 250€, plus la TVA de 21% (52,5€). D’abord, on a une créance sur client qui s’élève au prix total de la facture : 302,5€ (250€+52,5€). Cette augmentation de créances doit s’enregistrer au débit du compte actif « Clients ». En contrepartie, on enregistre deux augmentations à la fois :
- une augmentation au niveau des produits, qui doit s’enregistrer au crédit du compte « Vente de marchandises ». Cette augmentation s’élève au prix HTVA de l’armoire (250€). - et une augmentation des dettes, qui doit s’enregistrer au crédit du compte passif « TVA à payer ». Cette augmentation est de 52,5€.

Comment la valeur de 15000€ peut être inférieur à 20000€ !!!?



Dans cette vidéo, je parle de l’impact de l’inflation sur la valeur de l’argent en termes de pouvoir d’achat. Comme vous le savez, l’argent perd au travers le temps de sa valeur, un euro pouvait acheter beaucoup de choses il y a cinq ans d’ici. Dans ce cours je vous montre comment déterminer ce que peut acheter une somme d’argent à n’importe quelle date dans le temps.

Le pouvoir d’achat est défini par la quantité de bien que peut acheter une monnaie. Et en quelque sorte c’est la vraie valeur de l’argent, car un billet qui ne peut rien acheter n’a aucune valeur.

La BCE fixe ou tente de fixer le taux d’inflation à deux pour-cent (2%) en jouant sur le taux d’intérêt. Mais cela est un autre sujet que j’aborderai certainement dans une autre vidéo. Dans ce cours je me suis basé sur un taux d’inflation de 2%, car c’est plus proche à la réalité.

L’inflation est la perte de valeur de l’argent, on peut la définir comme la hausse généralisée des prix. Quand les prix montent, on n’achète moins de choses avec une même somme d’argent, ce qui revient à diminuer le pouvoir d’achat de la somme en question.

Dans la vidéo, je compare 20000€ aujourd’hui à 18000€ dans dix ans et 15000€ dans 20ans. Le résultat est que 15000€ dans 20 ans aura plus de pouvoir d’achat que 18000€ dans 10ans. Et 18000€ dans 10ans aura plus de pouvoir d’achat que 20000€ aujourd’hui.

Elasticité-prix de la demande, C’EST QUOI ça ?!!



Vous allez apprendre, dans cette vidéo, ce que signifie le concept de l’élasticité-prix de la demande. Pour cela, on se sert des situations vécues dans la vie de tous les jours, comme ce qui s’est produit dans un Intermarché en France lors d’une promotion sur Nutella. La société a réduit le prix de 70% et les consommateurs ruaient sur ce produit d’une manière spectaculaire (une sorte d’émeute). Cela veut dire que le produit de Nutella est très élastique par rapport au prix.

 L’élasticité en microéconomie c’est simplement la sensibilité des agents économiques à la suite d’une variation dans les conditions du marché. Quand on s’intéresse à la variation de la demande en fonction de la variation des prix, alors dans ce cas on parle du concept de l’élasticité-prix de la demande.

C’est très intéressant pour l’entreprise de savoir si la demande sur son produit est élastique ou pas, car ça reflète l’importance de l’image que les consommateur font du produit en question.

Dans la prochaine vidéo, j’analyserai les différents degrés de l’élasticité.

Exercices corrigé - les écritures en partie double - comptabilité (cours...



Dans cette vidéo je vous donne la réponse à l’exercice que je vous avais donné dans une autre vidéo. Il s’agit d’un exercice qui vous met en évidence la manière d’enregistrement des opérations dans des comptes à partie double, en forme de T. Je tenais dans cet exercice à ne pas utiliser les comptes de gestion (appelés aussi comptes de résultat) pour éviter de vous donner plus d’informations que ce que vous pouvez assimiler à la fois, donc ce qui aurait ajouté une difficulté à votre apprentissage. Je tiens à ce que les exercices ou bien les cours soient progressifs en apprentissage. Bien sûr plus loin on va aborder de plus en plus de notions, jusque à ce que vous maîtrisez parfaitement les techniques d’enregistrement comptable, et les différentes notions de la comptabilité générale.

Ce qu’il faut bien maîtriser dans ce cours c’est les notions de débit, crédit, solde débiteur, solde créditeur ... et surtout la manière d’enregistrer les mouvements générés par les opérations commerciales. Comment augmenter un compte actif, comme client, banque, caisse, mobilier .... ? Ou comment augmenter ou diminuer la dette d’un compte passif, comme fournisseur, par exemple ? Toutes ces questions sont traitées à travers cet exercice d'application.

Le passage d’un bilan initial à un bilan final à la suite de l’enregistrement des opérations tout au long d’un exercice comptable est aussi important à comprendre au travers de cet exercice. L’équilibre entre actif et passif doit être respecté aussi bien au niveau du bilan initial qu’au niveau du bilan final. Si ce n‘est pas le cas, alors, les opérations ne sont pas correctement enregistrées. Pour s’assurer de bien enregistrer chaque opération, il faut veiller à ce que le total débit soit égal au total crédit. Car dans chaque enregistrement l’équilibre débit-crédit est quelque chose d’impératif pour un enregistrement soit correct.

Le temps c'est vraiment de l'argent en finance !!?

Exercices - enregistrement comptable des opérations dans des comptes en ...



L’objectif de cet exercice est de mettre en pratique quelques notions essentielles que nous avons abordées dans les cours précédents, comme : solder un compte, enregistrer correctement une opération en respectant la technique d’écriture en partie double, maîtriser les mouvements au niveau des comptes actifs et au niveau des comptes passifs, établir un bilan initial et un bilan final…

Ce type d’exercice ont l’avantage de parcourir presque toutes les étapes qu’on effectue en comptabilité, depuis l’ouverture des comptes jusqu’aux clôtures des des comptes. On passe du bilan initial, qui s’établit au début de l’exercice comptable, jusqu’au bilan final, qui termine une année d’activité de l’entreprise (un exercice comptable complet).

Je dois préciser quand même que dans cet exercice je n’implique pas les opérations sur les comptes de résultat (comme achat de marchandises, ventes de marchandises, paiement des factures liées aux différents frais : électricité, gaz, loyer…). L’objectif c’est de progresser dans l’apprentissage, doucement, mais sûrement. C’est mieux que de mêler plein de notions à la fois, ce qui n’est pas tant profitable sur le plan pédagogique.

Solder un compte en comptabilité, c'est simple !



Dans cette vidéo, je parle de la procédure à suivre pour solder un compte, on dit aussi clôturer un compte. C'est ce que les entreprises font une fois à la fin d'un exercice comptable. L'entreprise procède aux clôtures des comptes une fois par exercice comptable. la clôture des comptes permet à l'entreprise de déterminer les différents soldes, ces derniers vont être affiché au niveau du bilan final, qui servira comme bilan initial de l'exercice comptable suivant.

En fait , de quoi on parle au juste, quand on dit solder un compte ? il s'agit simplement de faire l'équilibre au niveau débit et crédit de chaque compte. si dans un compte on a plus de débit que de crédit, alors on parle d'un solde débiteur, dans ce cas, on reporte se solde dans la partie crédit du compte pour faire l'équilibre entre les deux partie du compte. A l'inverse si le compte présente plus de crédit que de débit alors dans ce cas on parle d'un solde créditeur et qui va être ajouté dans la partie débit du compte en question, pour bien sûr faire l'équilibre entre les deux partie également.

En général, les comptes de passif sont des comptes qui sont toujours des comptes créditeurs, et les comptes de l'actif sont toujours des comptes débiteurs. cependant, il y a une petite exception par rapport au compte "banque" car le compte bancaire peut présenter un solde négatif, en dessous de zéro, ce qui peut se présenter comme un compte créditeur au même titre qu'un compte passif. Mais le compte "banque" reste toujours un compte de l'actif du bilan.

Fonctionnement des comptes à partie double (cours n°12)



Chaque compte du bilan peut être représenté sous la forme suivante : Le côté gauche s’appelle débit et le côté droit s’appelle crédit. Pour chaque compte l’un représente les augmentations et l’autre les diminutions. Débiter un compte, c’est porter une somme à son crédit et créditer un compte revient à porter une somme à son débit. Quand un compte d’actif augmente, cette augmentation est portée dans le côté gauche du compte, c’est-à-dire au débit, et lorsque il diminue, cette diminution est portée au crédit. Inversement se passe au niveau d'un compte du passif du bilan.

Le compte de résultat : les produits (cours de comptabilité générale n°11)



Exercice en fin de vidéo :

Revenons à notre entreprise Bwadur Sprl. M. Dupond pense avoir tout pour commencer à travailler, il lui faut juste de la matière première et quelques charges. L’entreprise utilise toutes les matières premières pour fabriquer 100 chaises. Pour cela elle supporte les charges suivantes :

- frais d’électricité pour faire fonctionner les machines : 100€
- la main d’œuvre (un ouvrier) : 840€
- les frais de transport (essence pour la camionnette) : 60€

L’entreprise compte vendre chaque chaise au prix de 20€. Quel seraient le compte de résultat et le bilan de l'entreprise dans les deux situations suivantes :

- l'entreprise ne fait aucune vente
- l'entreprise vend la totalité des chaises, à savoir 100 chaises

Comparaison entre les actions et les obligations



Cette vidéo concerne la comparaison entre les actions et les obligations (au niveau de la bourse, marchés financiers) sur un certain nombre de points : qualité de l'acheteur ; droits patrimoniaux de l'acheteur ; type de capital pour l'entreprise ; en cas de faillite ; durée ; potentiel de gain ; risque ; rentabilité ; ... 
 
Que représente un acheteur d’une action et un acheteur d’une obligation ? 
 
Quand on achète une action, on a droit à des dividendes, car on est propriétaire en quelque sorte à concurrence de notre achat d’action par rapport au fonds propres de l’entreprise.

Quand on achète une action, la durée de propriété de l’action ne se pose pas, par contre au niveau des obligations, et puisqu’il s’agit juste d’une créance, la durée doit être précisée à l’avance.
 
En cas de faillite, le risque au niveau des actions est très élevé, par rapport aux obligations. Ces dernières donnent droit à des intérêts, c’est ce qu’on appelle des coupons en finance. Bien sûr l’achat des obligations est plus sûr quant à son rendement que l’achat des actions. On peut aussi réaliser une plus-value à la vente des titres boursiers, que ce soit des actions ou des obligations. Quand on parle de rendement, on tient compte aussi du prix de vente et de la plus-value réalisée. Les cours des titres évoluent en permanence selon l’offre et la demande, la loi de l’offre et de la demande s’applique parfaitement dans le marché boursier (marchés financiers).

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Seuil de rentabilité : charges fixes et charges variables (cours 2)

Charges et Actif immobilisé - Exercice corrigé

 

Exercice d'application

Précisez pour chaque dépense ci-dessous s’il s’agit d’une charge ou d’un actif immobilisé.
Justifiez votre réponse.

1-       L’achat d’un terrain
2-       L’achat d’une machine
3-       L’achat de plusieurs camionnettes
4-       L’achat de divers meubles
5-       L’achat de matières premières
6-       L’achat de marchandises

Réponse

1-       L’achat d’un terrain est destiné à mettre en place le projet de l’entreprise sur une très longue durée, donc cette dépense ne peut pas être considérée comme une charge mais plutôt un élément de l’actif immobilisé.

2-       L’achat d’une machine est aussi destiné à installer le projet de l’entreprise et non pas à faire des bénéfices dans l’année en vendant la machine. Par contre, effectivement, si par exemple une entreprise se donne comme activité principale l’achat et vente de machines, là on est dans une autre situation, l’achat en question va être considérer dans ce cas comme une charge puisque son but est de faire des ventes et réaliser un bénéfice.

3-       Dans la majorité des cas, les camionnettes sont destinées à transporter des marchandises sur plusieurs années, on est donc dans l’actif immobilisé. Par contre, comme dans le cas de l’achat d’une machine, exceptionnellement, s’il s’agit d’une entreprise commerciale qui achète et vend des camionnettes et que les camionnettes achetées sont destinées à la vente, alors on comptabilisera cette achat dans les charges et non pas dans l’actif immobilisé.

4-       Les meubles sont considérés comme actif immobilisé car ils sont destinés à rester dans l’entreprise, à classer des dossiers, des archives et organiser l’activité de l’entreprise.

5-       L’achat de matières premières est une charge car il s’agit bien d’une dépense ayant comme objectif la fabrication d’un produit, qui, à son tour, sera destiné à la vente, ce qui entraînera l’augmentation du résultat de l’entreprise.

     6-       L’achat de marchandises est comptabilisé comme charge car son but et de vendre et faire des bénéfices. Bref, toutes les dépenses qui sont destinées à mettre sur pied le projet de l’entreprise, rentreront dans la catégorie d’actif immobilisé ; les autres dépenses sont considérées comme des charges.

Les charges et l'actif immobilisé, à ne pas confondre !


Charges et immobilisation, de quoi s’agit-il au juste ?

C’est important de bien comprendre la notion de charge et surtout ne pas la confondre avec d’autres notions, car ça peut être une source d’enregistrement comptable erroné. L’achat d’une machine par exemple ne constitue pas une charge, car il s’agit de l’acquisition d’un bien d’immobilisation, qui restera dans l’entreprise pour une longue durée. Par contre la dépréciation de la valeur de cette machine (ce qu’on appelle les amortissements) est considérée comme une charge. On verra les amortissements un peu plus loin.

Quand on parle de charges, on parle de dépenses, achat de marchandises, frais d’électricité, gaz, chauffage, salaires des travailleurs, etc. Or, pas toutes les dépenses sont des charges pour l’entreprise. Sont considérées comme charges uniquement les dépenses supportées pour réaliser le résultat de
l’entreprise, c’est à dire les charges ayant comme but de fabriquer le produit, de faire des ventes et dégager un bénéfice. Les autres dépenses sont essentiellement classées sous la catégorie de l’actif immobilisé, elles constituent les biens qui forment le patrimoine de l’entreprise. Cette distinction est essentielle, sinon on peut arriver à un faux résultat, une fausse perte ou un faux bénéfice, à la fin d’une année d’activité (au terme d’un exercice comptable).

Application

Précisez pour chaque dépense ci-dessous s’il s’agit d’une charge ou d’un actif immobilisé.
Justifiez votre réponse.

1-       L’achat d’un terrain
2-       L’achat d’une machine
3-       L’achat de plusieurs camionnettes
4-       L’achat de divers meubles
5-       L’achat de matières premières
6-       L’achat de marchandises

Comptabilité générale : Notion du résultat (cours n°8)

Il s’agit d’une notion qu’on peut facilement confondre avec d’autres, comme le bénéfice, le chiffre d’affaires, etc. Ces notions ne signifient pas la même chose. Le résultat est différent du bénéfice car un résultat peut aussi être négatif, dans ce cas on parle d’une perte. Le résultat ne prend le sens du bénéfice que quand il est positif.

Si le résultat peut être négatif, c’est parce qu’il s’obtient par la différence entre deux valeurs : la valeur des charges et la valeur des produits. Les charges sont constituées par l’ensemble des dépenses effectuées dans l’année afin de réaliser le résultat. Les produits sont des ressources acquises, constitués principalement par le volume des ventes (chiffre d’affaires).

Si les produits sont supérieurs aux charges, alors on réalise un bénéfice.

Si les produits sont inférieurs aux charges alors on a une perte.

Donc pour réaliser un bénéfice, le plus élevé possible, il faut minimiser les charges et maximiser les produits. Il importe à ce stade de bien clarifier les types de dépenses qui font partie des charges pour ne pas les confondre avec d’autres dépenses qui n’en font pas partie.

Réponse - Exercice 2 sur le bilan comptable (cours n°7)

 

Je vous présente la réponse au deuxième exercice sur le bilan comptable :

Présentez le bilan de l’entreprise MANO au 31/12/2017 sur base des renseignements suivants :

o Un terrain d’une valeur de 75 000€
o Deux camions d’une valeur totale de 15 000 € (dont 5 000 € est encore à payer au fournisseur dans 7 mois)
o Une machine d’une valeur de 35 000 € acheté sur base d’un crédit remboursable dans 19 mois
o Des marchandises en stock d’une valeur de 900 €
o L’argent en banque s’élève à 19000 €
o La caisse contient 1500 €
o Les factures qui ne sont pas encore payées par les clients totalisent une somme de 2500€

On constate que l’absence de la valeur du capital. Il faut le calculer, car toute entreprise doit avoir un capital, c’est une obligation légale. Pour le calculer, il faut se baser sur le principe de l’égalité entre l’actif et le passif du bilan.

Capital = Total Actif – dettes

Cours n°6 : bilan comptable - exercice corrigé

 

Je vous donne la réponse au premier exercice que je vous avais donné lors du dernier cours.

L’exercice est le suivant :

1- Classe chacun des éléments suivants sous la catégorie adéquate du bilan :

o Un terrain
o Un comptoir
o Apport en capital
o Des sacs poubelles
o Caisse enregistreuse
o Marchandises
o Solde sur un compte bancaire
o Emprunt remboursable dans 26 mois
o Factures des fournisseurs payables dans 2 mois
o Factures non encore payés des clients
o Des chaises et tables pour les salariés
o Divers produits pour la fabrication des marchandises

Passif du bilan comptable - critère d’exigibilité (cours n°4)

 

Le passif comptable permet de représenter ce que doit l'entreprise. Il s'agit donc d'un élément à déterminer pour vérifier si l'entreprise pourra rembourser un crédit ou si elle constitue un investissement intéressant par l'analyse financière ou l'analyse des ratios de solvabilité. Il est pratique et rapide de compléter cette analyse par une analyse de l'excédent brut d'exploitation (des soldes intermédiaires de gestion).

Dans les prochains cours je vous expliquerai la comptabilisation des éléments du passif Le passif regroupe en comptabilité générale les ressources à la disposition de l'entreprise (d'où vient l'argent). Ces ressources financent l'actif. Le passif correspond à la partie droite du bilan. Les passifs sont enregistrés à la date de livraison du bien ou du service rendu (et pas aux autres dates sauf en cas de clause de réserve de propriété et des particularités relatives au fait générateur de la TVA). À la clôture de l'exercice, si la valeur du passif augmente, l'augmentation est constatée comme une dette si elle est irréversible, sinon comme une provision. Si la valeur diminue de manière non irréversible, la diminution n'est pas comptabilisée (principe de prudence).

Selon les normes internationales

Le passif est décomposé en trois catégories principales :

Les capitaux propres
Capital émis
Réserves et résultat
Le capital émis est la somme des ressources financières extérieures représentative du droit de propriété des associés ou actionnaires sans échéancier de remboursement.

Passifs non courants

Les emprunts
Les provisions
Le passif non courant ne sera pas réglé dans le cadre du cycle normal de l'exploitation, et pas dans les 12 mois pour les dettes financières dont l'échéance est supérieure à 12 mois.

Passifs courants
Les dettes fournisseurs
Les provisions
Les emprunts et découverts
Le passif courant sera réglé dans le cadre du cycle normal de l'exploitation, ou dans les 12 mois pour les dettes financières dont l'échéance est inférieure à 12 mois.